Commande en France de matériel d'artillerie de campagne (7 janvier, 15 février 1900) ; la Transcaspienne. grandes manœuvres. exercices de mobilisation innovés par le général Kouropatkine (1er avril) : travaux pour relier le transcaspien au centre de la Russie (10 avril). le rêve de Bismark s'accomplit

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Commande en France de matériel d'artillerie de campagne (7 janvier, 15 février 1900) ; la Transcaspienne : envois de troupes et voies ferrées (8 janvier et 20 février) ; l'état-major ne s'oppose plus à de nouvelles voies ferrées sur la rive gauche de la Vistule (8 janvier, 10 avril) ; renouvellement probable de la concession des chemins de fer en Perse (8 janvier) ; grandes manœuvres : décision énergique du général Kouropatkine (8 janvier) ; le gouvernement russe n'a pas l'intention d'intervenir en Afghanistan, sauf en cas de nécessité ; infiltration lente en Perse (20 février) ; éventualité d'un démembrement de l'Autriche à la disparition de François-Joseph (10 mars, 10 avril) ; exercices de mobilisation innovés par le général Kouropatkine (1er avril) : travaux pour relier le transcaspien au centre de la Russie (10 avril) ; visites des généraux Kouropatkine et Sakharoff à Paris ; le principe « d'entente en tous temps » entre les deux états-majors (10 avril, 8 juin) ; documents russes sur les armées allemande et autrichienne (1er mai) ; mobilisation dans le gouvernement général de l'Amour et en Sibérie (25 et 30 juin) ; constitution de corps expéditionnaire (7 août) ; éventualité d'un conflit avec l'Angleterre sur les confins d'Afghanistan (19 janvier 1901), qui rend urgent l'achèvement du tronçon Orenbourg-Tachkent (27 janvier) ; rapatriement de troupes d'Extrême-Orient ; il restera deux corps d'armée (27 janvier) ; documents publiés par l'état-major russe du Turkestan, documents russes sur la mobilisation du 3e corps d'armée allemand (1er février) ; communications par le Baïkal (3 février) ; visées de Guillaume II sur les provinces allemandes d'Autriche (5 février) ; conférence du colonel Stakhovitch sur la guerre du Transvaal (10 février) ; le choix d'un gouverneur général de Pologne (1er mars) ; le général Tchertkoff (1er avril) ; projet de voie ferrée Saint-Pétersbourg-Vitebsk (17 mars) ; le colonel Lazareff, nouvel attaché militaire à Paris (17 mars) ; le général Kouropatkine craint une guerre avec l'Angleterre (1er avril) ; le futur plan de concentration (1er avril) ; débilité du haut-commandement sur la frontière d'Europe (1er juin) ; projet de voies ferrées stratégiques (1er juin) ; préparatifs de l'état-major en vue d'une guerre en Extrême-Orient (10 juillet) ; préparation d'un plan offensif en Pologne russe (23 décembre) ; situation personnelle du général Kouropatkine, ministre de la guerre (31 décembre) ; appréciations flatteuses de Nicolas II sur l'armée française (31 décembre) ; amabilité des diplomates italiens (14 janvier 1902) ; programme de préparation à la guerre sur la frontière de Pologne (28 janvier) ; le budget russe de 1902 (étude du 2e bureau, février) ; conversation avec Nicolas II sur l'armée française (8 février) ; arrestation d'espions russes au profit de l'Allemagne (12 mars) ; situation en Mandchourie (25 mars, 5 juillet) ; les officiers finlandais démissionnaires (12 juin) ; invitation aux manœuvres de Koursk (5 juillet, 13 août) ; le plan de concentration sur la frontière occidentale (30 décembre) ; départ du général Dragomiroff ; médiocrité du commandement sur la frontière d'Europe (15 février et 6 mars 1903) ; rapport de 118 pages sur les grandes manœuvres de Koursk (28 février) ; dispositions de simple prudence prises à cause des affaires de Macédoine (6 mars) ; conversation avec le colonel Wanofsky, attaché militaire russe au Japon : l'intelligence des Japonais serait médiocre ; leur corps expéditionnaire en Chine a été surestimé ; la Corée (10 avril) ; réduction du budget de la guerre qui rend impossible l'organisation d'une armée de 300.000 hommes en Extrême-Orient (1er mai) ; impressions de voyage en Orient du général Kouropatkine (28 mai) ; garnison renforcée dans la presqu'île de Port-Arthur (10 juin) ; envoi de troupes en Sibérie (25 juin), qui constitue un « avertissement à la Chine et au Japon » (10 juillet) ; désaccord entre l'Empereur et le général Kouropatkine ; celui-ci estime qu'une guerre avec le Japon serait vraisemblablement peu glorieuse (13 août) ; succession du général Kouropatkine (20 août) ; la Mandchourie ne sera pas évacuée ; on espère malgré tout éviter une guerre (20 septembre) ; nominations et mutations dans le haut-commandement (20 septembre, 15 octobre) ; bruits de mobilisation japonaise (30 septembre) ; les réductions du budget de la guerre de 1904 à 1908 (30 septembre) ; espoir « dans les hautes sphères militaires » d'éviter un conflit armé avec le Japon, mesures prises, l'amiral Alexeieff, lieutenant-général en Extrême-Orient, situation des Russes en Corée en Mandchourie (20 octobre, 20 et 30 novembre) ; plan de concentration de début en cas de guerre (20 décembre 1903 et 10 janvier 1904) ; effectifs dans la circonscription militaire de Sibérie orientale (2 et 22 janvier 1904) ; approvisionnements (16 janvier) ; renforts (12 février) ; situation et attitude du général Kouropatkine (26 et 28 janvier) ; conversation avec le général Sakharoff qui tient la situation en Extrême-Orient pour « très incertaine et assez inquiétante » (26 janvier) ; éventualité d'une intervention anglaise dans le conflit russo-japonais (12 février) ; situation sur l'avant-théâtre d'opérations (19 février, 29 février, 15 mars, 25 mars, 5 avril, 15 avril, 20 avril) ; la guerre débute dans de mauvaises conditions pour les Russes (20 février) ; confirmation de neuf télégrammes envoyés depuis le 22 janvier (24 février) ; la ligne Orenbourg-Tachkent (24 février, 10 mars, 18 mars, 5 avril, 10 avril, 29 octobre), comptes rendus périodiques d'opérations (19 février, 29 février, 15 mars, 25 mars, 5 avril) ; enthousiasme de l'armée et du peuple russes (10 mars) ; valeur de l'armée de Mandchourie et de ses chefs (10 mars ; le rêve de Bismark s'accomplit : la Russie est lancée sur l'Extrême-Orient (10 mars) ; départ de Kouropatkine, commandant l'armée de Mandchourie (10 mars) ; franchissement du Baïkal (10 mars) ; garnison et approvisionnements de Port-Arthur (12 mars) ; ravitaillement de l'armée mandchoue (18 mars) ; le général Sakharoff ministre de la guerre (23 mars) ; confirmation de cinq télégrammes chiffrés (3-23 mars) ; deux affaires d'espionnage au profit de l'Autriche-Hongrie et du Japon (23 mars) ; frottements entre les trois grands chefs en Extrême-Orient (6 avril) ; opinion du général Sakharoff sur la situation (20 avril) ; projet d'envoyer la flotte de la Baltique en Extrême-Orient (20 avril) ; possibilité d'une rupture avec la Chine (23 avril) ; état des esprits à Saint-Pétersbourg (3 juin) ; Nicolas II rend Kouropatkine responsable du sort de Port-Arthur (6 et 11 juin) ; faiblesses du haut-commandement, indignation contre Kouropatkine (17 juin) ; importance des pertes russes (1er juillet) ; situation de l'armée russe et intentions de Kouropatkine (1er juillet) ; extraits de lettres du général Silvestre qui plaident en faveur du système et des idées de Kouropatkine (14, 18 et 24 juillet, 10 août, 25 août, 1er septembre) ; Sakharoff limite les renforts pour l'Extrême-Orient (18 juillet) ; appréciations sur la situation (24 juillet et 25 août) ; conversation avec le général Sakharoff (25 août) ; l'abandon de Liao-Yan (1er et 23 septembre), et ses conséquences éloignées (25 septembre) ; la situation militaire après ces opérations (29 septembre) ; extraits de lettres du général Silvestre (30 septembre) ; le commandement à l'armée de Mandchourie (5 septembre) ; lettres du général Silvestre (6, 18 octobre) ; coup d'œil d'ensemble et confiance dans l'avenir (6 octobre) ; prochaines opérations probables (7 octobre) ; récit et étude des opérations sous Liao-Yan (18 et 26 octobre, 3, 17, 30 novembre) ; l'offensive de Kouropatkine (22 octobre) ; nominations dans l'armée (25 octobre) ; conversation avec le général Sakharoff, son jugement sur Kouropatkine (25 octobre) ; relations russo-allemandes (24 octobre), situation en Extrême-Orient (29 octobre) ; des événements intéressants et sérieux se préparent en Mandchourie (2 novembre) ; le caractère de Nicolas II (3 novembre) ; Sakharoff et la nomination de Kouropatkine généralissime en Extrême-Orient (5 novembre) ; émotion au Turkestan (5 novembre) ; la presse russe et les relations avec la France (12 novembre) ; Guillaume II offre sa médiation à Nicolas II ; divergences de vues entre les généraux Moulin et Silvestre (17 novembre) ; celui-ci ne peut quitter Moukden pour l'instant (1er décembre) ; transmission de ses lettres (16 et 26 décembre).