"Janvier - mars 1745 : lettres de service à divers officiers pour la campagne en Flandre, divers états de situation des troupes destinées à faire cette campagne ou à demeurer dans les places voisines ; mesures pour la garde de la frontière, armement des paysans en Champagne ; garnisons, fortifications, approvisionnement, affaires diverses des villes et pays de Bavay, Bruges, Charleroi, Condé, Dixmude, Dunkerque, Furnes, Gand, Hondschoote, Le Quesnoy, Liège, Maubeuge, Menin, Mons, Namur, Nieuport, Ostende, Philippeville, Tournai, Valenciennes, Ypres ; ordres de mouvement et affaires diverses concernant les régiments de Bettens, Prince Camille, Royal-infanterie, Soissonnais, la compagnie franche de Goderneaux, les milices ; forces et mouvements des ennemis, nouvelles d'Angleterre, état de situation des troupes anglaises, hanovriennes, hollandaises, autrichiennes, dans les Pays-Bas autrichiens ; mesures pour l'entretien et l'échange des prisonniers de guerre et au sujet des déserteurs ; demandes de passeports, etc."

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"Lettres d'Argenson, de Maurepas, Maurice de Saxe, Bauffremont (le marquis Louis), Aunay, Caraman (le marquis Victor-Pierre), Céberet, du Pas, Fitz-James (le duc), Harcourt (le comte), Hérouville de Claye, La Suze, La Basèque, La Motte-Guérin, Le Danois, Montigny, Phelippes, Puységur, Robert, Savine, du marquis de Fénelon, du comte de Grandpré, lieutenant-général de Champagne, de l'intendant Moreau de Séchelles, du subdélégué général Massart, du commissaire des guerres Goury de Champgrand, du prince de Ligne, du marquis de Bournonville, gouverneur du Limbourg pour Marie-Thérèse, d'agents secrets, de la marquise de Céberet, etc.

Pièce 144 : mémoire du marquis de Fénelon « sur les voies à suivre pour arriver à une bonne paix ». Pièce 75 : « réflexions solides (par le baron de Frisenheim de Rieux) sur les opérations de guerre tant en Flandre, en Piémont, que dans le sein de l'Allemagne », etc. Pièce 29 : lettre du maréchal de Saxe demandant, dans l'intérêt de la discipline, que de roi rende deux ordonnances, l'une au sujet de l'observation de la consigne par les factionnaires, l'autre au sujet de l'emploi des baguettes comme punition. "