Etat-majors Georges.

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(Dossier 1) Avis sur les conditions dans lesquelles l’Algérie pourrait renforcer les troupes d’occupation du Maroc en cas d’abandon par l’Espagne de sa zone d’occupation, avant que ne soit terminé le programme de pacification marocaine (28 mars 1933) ; sur l’intérêt stratégique de la Corse et les moyens de défense mis en oeuvre (28 décembre 1938) ; avis sur la question de la défense de la région parisienne : nécessité d’englober la région de Paris dans une position de résistance, intégrée dans le dispositif de nos forces, alors que la D.M. du 17 mars 1931 prévoit de la laisser en dehors du dispositif principal avec le minimum de forces (26 avril 1939) ; (d.2) avis sur des questions de commandement et de tactique, dont notamment la détermination des grandes unités d’intervention susceptibles d’être employées en Belgique (8 mars 1935), la nécessité d’alléger la centralisation du commandement en Afrique du Nord en temps de paix (22 octobre 1935) ; avis sur l’éventuelle réoccupation par les Allemands de la zone démilitarisée ; organisation des unités, perfectionnement de notre barrière fortifiée (29 janvier 1936), sur l’action de coordination que doit exercer en temps de guerre le haut commandement militaire (2 juillet 1936) ; (d.3) sur la nécessité pour le commandant en chef de disposer d’unités antichars de réserve générale (24 juillet 1936), sur l’instruction de couverture de la 1ère armée du 16 novembre 1936 (24 novembre 1936) ; réflexions sur la nationalisation systématique des fabrications d’artillerie : leur expropriation entraînerait le chômage, ruinerait le commerce extérieur, provoquerait des troubles graves dans la mobilisation industrielle (28 novembre 1936), sur l’organisation future des formations de chars de combat en divisions cuirassées et réserves générales (8 février 1937), sur les mesures à prendre pour améliorer les conditions de la mobilisation (9 février 1937) ; réflexions sur une offensive en Forêt noire et les conditions pour que l’intervention de la France au profit de la Tchécoslovaquie soit efficace, et que sa mainmise sur les pays rhénans de la rive gauche constitue un gage (10 avril 1937), sur une note concernant la conduite de la bataille défensive initiale : importance du rôle du commandant en chef et des môles de résistance dans la conduite des opérations (12 juillet 1937), sur l’emploi tactique des grandes unités aériennes et les principes de coopération des armées de terre et de l’air (juillet 1937), sur les problèmes et l’organisation de l’inspection des transmissions (4 novembre 1937), sur les méthodes d’instruction, qui doivent consister à faire comprendre aux cadres que la mission primordiale de l’infanterie dans la défensive est de s’accrocher au sol (6 novembre 1937) ; réflexions sur la politique de guerre de la France : tous ses efforts doivent être orientés vers la préparation et la conduite d’une guerre de coalition, compte tenu de l’évolution de la situation internationale (20 novembre 1937).