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[Dossier 1] Correspondance diplomatique en provenance du Quai d'Orsay et des représentants de la France en Belgique : opinions du général de Witte sur la défense du pays (12 décembre 1919) ; développement du marché de la laine à Anvers (30janvier 1920) ; augmentation du prix du pain (25 février) ; commerce extérieur en 1919 (27 février) ; d'après Jaspar, le pacte anglo-belge contient l'assurance du soutien de la Grande-Bretagne « contre toute agression » non provoquée (19 janvier 1922) ; projets d'électrification des cantons de Malmédy et de Saint-With (15, 28 avril 1925) ; déficit en cadres et gradés volontaires de l'armée (13 août) ; exigences des financiers américains à l'égard de la Belgique (21 février, 8 mars 1926) ; possibilités de défense militaire des cantons d'Eupen et Malmédy (8 septembre) ; on préparerait à Bruxelles, d'après un journal anver-sois, la dénonciation de l'accord franco-belge de 1920 (27 mars 1929) ; incidents flamingants à l'université et à la cathédrale de Gand (12, 22 décembre 1930) ; la non-communication à la S.D.N. de l'accord franco-belge entretient un malaise en Europe (6 janvier 1931) ; les Wallons sont mécontents de ce que la ligne de défense de leur province ne soit pas fixée sur la frontière ; opinions de personnalités et de la presse sur la limitation des armements (passim) ; composition de la délégation à Genève (14 janvier 1932) ; la défense des frontières de l'Est préoccupe l'opinion et les responsables politiques wallons (passim avril-décembre) ; « La Flandre libérale » publie un article sur la défense de la frontière hollandaise (27 octobre) ; la presse flamande s'inquiète du coût des travaux de défense de la frontière de l'Est (6 février 1933) ; analyse et commentaire d'une pièce de théâtre allemande sur la bataille de la Marne (15 février) ; « militairement la France ne peut se passer de la Belgique et économiquement la Belgique peut se passer de moins en moins facilement de la France » (1er juillet ; 21 août) ; la ligne de défense des Ardennes et de la Meuse est la seule admissible (18 juillet) ; l'opposition entre le ministre Devèze, partisan de la défense à la frontière, et le général Galet, partisan du réduit national (10 août 1933, 23, 24 janvier 1934) ; tableau de la situation économique, politique et militaire du pays à l'avènement de Léopold III (12 mars) ; activités des S.R. étrangers sur le littoral (1er juin) ; des détenus de camps de concentration allemands exécuteraient des travaux de défense à la frontière hollandaise (7 mars 1935) ; les travaux de fortifications à l'Est n'avancent qu'au ralenti (8 mars) ; Devèze souhaite le maintien de la liaison entre les états-majors français et belge mais désire qu'elle soit discrète (3, 23 octobre) ; congrès des démocrates chrétiens à Liège (26 novembre) ; les relations militaires avec la Hollande pourraient s'améliorer (5 décembre 1935, 27, 30 janvier 1936) ; réaffirmation réciproque de l'accord militaire franco-belge de 1920 (6 mars) ; l'ambassadeur anglais à Bruxelles souhaite des contacts d'état-major anglo-franco-belges (25 mars) ; installation de la commission mixte chargée d'examiner le problème de la défense (23 avril) ; le commerce avec la France laisse un solde bénéficiaire bien qu'une campagne de presse cherche à démontrer le contraire (7 mai) ; l'espionnage allemand en Belgique est actif (12 mai) ; résultats des élections (28 mai) ; opinions sur la défense ; nécessité de contacts d'état-major franco-belges (20 mai, 25 juin, 29 octobre, 9 Novembre) ; le lieutenant-général Denis (17 juin) ; Paris estime que « l'abandon d'une organisation défensive de l'ensemble du territoire belge serait contraire aux engagements existants » (5 novembre) ; Paris répond à l'engagement pris par le gouvernement belge de limiter sa contribution au maintien de la paix en Europe (24 décembre 1936) ; l'orientation de la politique étrangère et militaire en 1936 d'après l'analyse des débats de la commission mixte (32 p., 30 janvier 1937) ; la question des contacts d'état-major continue à préoccuper la presse (13 mai) mais est éludée par Spaak au Parlement (24 mars 1938) ; Spaak se préoccupe de l'attitude de la Belgique en cas d'attaque en Hollande et craint que la reprise des contacts d'état-major avec la France et l'Angleterre ne fournisse à l'Allemagne un prétexte (26 octobre 1939) ; impressions d'un journaliste américain de retour d'Allemagne (13 mars 1940) ; télégrammes (1925-1927) ; [d. 2] Luxembourg : études de l'E.M.A. et lettres du ministre de France sur la question du Luxembourg (1920), sa situation juridique (25 août 1932) ; le Grand duché désarmé, s'en tient à son statut international (30 mars 1934) et « ne fera rien pour entraver la ruée de l'envahisseur » (28 février 1936) mais souhaite être englobé dans la promesse d'Eden de défendre la France et la Belgique (18 décembre) ; fortifications allemandes à la frontière du Grand duché (26 novembre, 13 décembre 1937) ; « la neutralité du Luxembourg présente plus d'inconvénients que d'avantages » (E.M.A., 5 avril 1939) ; projet d'évacuation de la légation de France (1er janvier 1940) ; [d. 3] l'utilisation éventuelle des chemins de fer luxembourgeois par les armées françaises : notes, études, négociations et tractations (E.M.A., Affaires étrangères, 1920-1929, 1933) ; [d. 4] bulletins périodiques de la presse belge (Affaires étrangères, série incomplète, 1919-1939) ; [d.5] notes de l'E.M.A. (principalement du 2e Bureau), du général Gamelin et de l'état-major belge concernant les relations et la coopération militaire franco-belge : rapport sur les négociations des 10 et 11 juin 1920 entre le général Maglinse et le maréchal Foch ; Londres ne participera pas aux conversations franco-belges (9 juillet) ; copie de l'accord militaire défensif du 7 septembre 1920 ; procès verbal de la conférence du 8 décembre 1923 entre les généraux Maglinse et Buat, avec un croquis ; l'état-major anglais estime que la Hollande sera impliquée dans le prochain conflit (23 janvier 1925) ; la concentration de l'emploi de deux armées françaises en Belgique sont étudiés par le général Bineau à Bruxelles et des officiers de l'état-major belge à Paris (octobre 1926-décembre 1927) ; l'évacuation de la Rhénanie nécessite un ajustement des dispositions de l'accord (projet de lettre de Gamelin à Galet, étude du 4e Bureau, mars 1931) ; la Belgique et le problème de la limitation des armements (20 novembre) ; conditions d'appui de l'armée belge par l'armée française (Gamelin, 7 juin 1932) ; clauses de l'accord militaire de 1920 restant encore en vigueur [1933] ; Devèze fait savoir à Game-lin qu'il ne voit que des avantages à la réalisation de fortifications au Nord de la France (25 novembre 1933) ; le Quai d'Orsay doit exploiter les dispositions favorables des Belges pour leur signaler l'intérêt d'appeler l'armée française en temps utile (28, 29 décembre) ; points de la coopération militaire éventuelle à examiner lors de la prochaine visite du chef d'état-major général belge à Paris : possibilités et délais d'intervention, liaisons de renseignements, terrains d'aviation belges (novembre-décembre 1934) ; organisation défensive du Luxembourg belge (1934-1935) ; conférence franco-belge du 5 avril 1935 à Paris (procès-verbal, études et notes, mars-avril) ; compte rendu de mission du chef du 2e bureau auprès de l'état-major belge (4 juillet) ; questions à étudier lors de la visite du général Van den Bergen à Paris : zone démilitarisée, dispositif de couverture belge, liaisons entre les sections de renseignement (octobre-décembre) ; un éventuel rapprochement hollando-belge peut être le début d'une nouvelle politique éloignant la Belgique de la France (16 janvier 1936) ; valeur respective de l'accord militaire de 1920 et du pacte de Locarno (10, 21 janvier 1936) ; Paris souhaite « le maintien d'un contact entre états-majors » (ambassadeur de France et premier ministre belge, 6 mars) ; certains dispositifs de destruction belges sont chargés en permanence (10 avril) ; répercussion en Belgique des conférences d'état-major de Londres (18 avril) ; analyse d'une conférence de Henri Jaspar sur la politique extérieure belge (28 avril) ; procès-verbal des conversations militaires franco-belges du 15 mai 1936 contenant les réponses du général Van den Bergen aux questions posées par l'état-major français à la fin de 1935 ; plan des destructions prévues dans la zone d'intervention éventuelle des troupes françaises (mai) ; compte rendu de reconnaissance en Belgique (entre Sambre et Meuse) du général Dufieux (20 juillet) ; Gamelin tire les conséquences de la nouvelle neutralité belge dans l'hypothèse d'une « irruption massive et par surprise de divisions blindées et de grandes unités motorisées allemandes, appuyées par une puissante aviation de bombardement » (16 octobre) ; un éventuel changement de tendance du cabinet belge commande la prudence dans les relations d'état-major (Affaires étrangères, 5, 13 novembre 1936) ; indices d'une nouvelle orientation des conceptions défensives belges (1er février 1937) ; texte de la déclaration franco-britannique relevant la Belgique des engagements qui découlent pour elle du traité de Locarno (28 avril) ; on examinerait en Italie les conditions d'une collaboration militaire avec l'Allemagne contre le bloc anglo-français (2 juillet) ; le principe « de la défense à la frontière même » est abandonné et le centre de gravité des forces est ramené « nettement au Nord de la Meuse » : « la Belgique se replie sur elle-même » (note de la S.A.E., annotée par Gamelin, 19 octobre 1937) ; style de commandement du roi Léopold (21 décembre 1938).

Fechas

1919-1940

Última modificación el 24/12/2021

Format Physique Vincennes