Cote
GR/7/N/2720-GR/7/N/2745
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Archive notice
Belgique : Rapports des attachés militaires
Dates
1906-1968Présentation du contenu
Attachés militaires
SEROT ALMERAS LATOUR
BLAVIER
CHARDIGNY
RIEDINGER
LAURENT
- Archives de la Guerre (1797-1979, Tome 2 : État-Major des Armées, Directions et Inspections, Gouvernement militaire et région de Paris - GR 7-9N.
- État-Major des Armées, Directions et Inspections, Gouvernement militaire et région de Paris
- ATTACHÉS MILITAIRES
- ALBANIE
- ALLEMAGNE
- Autriche : Rapports du chef de la mission militaire et des attachés militaires :
- Belgique : Rapports des attachés militaires
- 1919 : la base de ravitaillement des armées françaises de Rhénanie, est transférée de Rotterdam à Anvers (mission, 15 mars) ; démobilisation de certaines classes (7 juillet) ; prochaine publication du Bulletin belge des sciences militaires (8 août) ; Paris demande des précisions sur les mesures prises en matière de service militaire et d'instruction (11 août) ; audiences du roi : les relations et la politique militaires franco-belges doivent être harmonisées (28 août, 11 décembre) ; l'artillerie lourde ; programme de l'École de guerre (28 août) ; organisation de la gendarmerie (11 septembre) ; renseignements militaires : mutation de généraux, service militaire, appel de classes (11 septembre, 19 Novembre) ; attaché aéronautique italien (12 septembre) ; partisans, adversaires, chances du projet d'établissement d'une république rhénane ; état d'esprit des populations dans la zone belge d'occupation (14 septembre, 11, 22 novembre) ; création d'une médaille commémorative de la guerre (23 septembre) ; organisation militaire territoriale (29 septembre) ; attributions du chef d'état-major (6 octobre) ; tête italo-belge au théâtre royal du Parc (4, 5 novembre) ; l'E.M.A. demande des renseignements sur le comportement des places fortes belges en 1914 (26 novembre, 2 décembre) ; augmentation de l'effectif des officiers (1er décembre) ; liste des attachés militaires en poste à Bruxelles (22 décembre). 1920 : l'armée comme « École nationale générale », brochure et opinions du général Cabra (8 avril) ; réorganisation du ministère de la Guerre (5 janvier, 4 mars) ; limites d'âges des officiers, (13, 26 janvier) ; le roi déplore devant l'attaché militaire le manque de traditions militaires de son pays (29, 30 janvier) ; des soldats manifestent à Anvers et Namur contre l'inégalité du temps de service (30, 31 janvier) ; les milieux ministériels sont déçus par la conférence d'Ypres (4 février) ; le général Maglinse souhaite la réalisation d'un accord militaire avec la France (18 février, 19 mars) qui devrait aboutir à la création d'un service de renseignements unique (18 mars) ; nouvelles attributions du chef d'état-major (28 février) ; durée du service militaire (5, 6 mars) ; revues militaires du 8 avril (13 avril) ; renseignements sur l'armée (27 mai) ; le chef d'état-major désire que l'attaché militaire assiste aux débats parlementaires sur le budget militaire (28 mai) au cours desquels est affirmée l'indépendance militaire du pays (18 juin) ; visite des camps militaires (mai, 9 juin) ; le projet d'accord militaire satisfait l'état-major et l'opinion mais le premier ministre Delacroix préférerait un accord tripartite (17, 22, 25 juin) ; les catholiques flamands et les socialistes sont opposés à cet accord (3 juillet, 10 septembre) ; le roi désire connaître les intentions françaises sur la durée du service militaire (17 juillet) ; manifestations d'amitié franco-belge avant la signa-ture de l'accord (22, 23, 24 juillet) ; discussions au Sénat sur l'armée (26 juillet) ; Janson, ministre de la Défense, surseoit à sa démission sous réserve que l'accord soit ratifié (10 septembre) ; l'attaché militaire britannique estime qu'un accord tripartite est nécessaire mais Lloyd George devant Delacroix élude la décision (10 septembre, 15 octobre) ; signature de l'accord ; entretiens avec le général Maglinse sous l'impulsion duquel l'état-major a accompli des efforts considérables pour remédier à la crise de l'armée (14 septembre, 7 octobre) ; démission de Janson et crise ministérielle ; formation d'un cabinet Carton de Wiart (25 septembre, 13, 26 novembre) ; capitulation d'Anvers en 1914, étude du capitaine Veherbegh (12 p., 22 octobre) ; la propagande française en Belgique doit être discrète, estime l'ambassadeur (6 décembre) ; prises de position favorables à la réduction du service militaire (10 décembre). 1921 : le chef d'état-major estime que la division des partis et leur méconnaissance des questions militaires gêne le travail de l'état-major (7 janvier) ; l'ambassadeur de France est victime d'une campagne de presse dont l'attitude du roi atténue les effets (7, 14, 21 janvier) ; relations économiques avec la France : le trafic concernant l'Alsace-Lorraine va désormais favoriser le port de Dunkerque au détriment de celui d'Anvers (22 janvier) ; la défense côtière est inexistante (15, 25 janvier, 16 mars) ; Mahmoud Khan, ministre de Perse à Bruxelles analyse les conséquences de la crise russe sur la politique de bascule pratiquée par son pays entre l'Angleterre et la Russie (26 janvier) ; voyage en zone rhénane occupée par l'armée belge (9 février) ; organisation et effectifs mobilisables de l'armée (10 février) ; l'armée française sert de modèle, affirme le roi (16 février) ; la personnalité du nouveau ministre de la Défense, Devèze (25 février) ; questions portuaires et économiques (28 février, 25 avril, 5 juin, 5 octobre) ; le War office fait étudier les problèmes de transport liés au renforcement éventuel des troupes de Rhénanie (1er mars) ; modalités d'utilisation des chemins de fer luxembourgeois par les Alliés (15 mars) ; activités de l'officier de marine français détaché à Bruxelles (16 mars) ; le chef d'état-major envisage la réduction du nombre des divisions d'infanterie (30 mars) ; revue militaire du 8 avril (14 avril) ; la mission des chasseurs de sous-marins français détachés à Anvers doit être définie (15 avril) ; caractères et remèdes de la crise industrielle, étude (23 p., 16 avril) ; le roi et l'opinion accueillent favorablement la déclaration de Briand sur les sanctions et sont prêts à y participer (21, 28 avril) ; instruction des officiers de réserve (21 avril) ; projet de création du port maritime de Bruxelles avec des cartes, plans et une notice (10 mai) ; conflit au sein du cabinet sur les modalités du service militaire (14, 25 mai) ; étude sur un projet de création d'une marine militaire, projet destiné au chef d'état-major général (38 p., 21 mai) ; effectifs de l'armée d'occupation ; amélioration des relations avec la Hollande (6 juin) ; le maréchal Franchet d'Esperey porte un jugement défavorable sur l'armée belge (7 juin) ; tour d'horizon des problèmes politiques et militaires de la Grande-Bretagne par le général Godley, secrétaire du War office (9 juin) ; questions militaires à l'ordre du jour (12, 18 juillet) ; la loi de milice est une concession du gouvernement à l'opposition (2, 18 août) ; inauguration à Liège d'un monument à la mémoire des soldats français (13 octobre) ; état des forces armées ; l'effort militaire pendant la guerre (18 octobre) ; le récent voyage du roi en Algérie et au Maroc (20 octobre, 3 novembre) ; essais du F.M. Hotchkiss (3, 30 novembre, 7 décembre) ; les armes automatiques prochainement en service (3 novembre) ; voyage de mutilés de guerre à Paris (12 novembre) ; cérémonie du 11 novembre à Gand (14 novembre) ; élections législatives et formation du cabinet Theunis ; programme de compression budgétaire dont l'armée fera les frais (20 novembre, 21 décembre) ; le maréchal Wilson et le général Maglinse préfèrent la prolongation de l'occupation de la Rhénanie à l'occupation de la Ruhr (6 décembre). 1922 : visite du général Gouraud (12 janvier) et du maréchal Fayolle (23 février) ; le projet et les pourparlers de pacte anglo-belge n'aboutissent pas ; la Belgique craint une tutelle étrangère (18, 26 janvier, 2 mars, 24 mai) ; les différents projets de loi de réorganisation de l'armée se heurtent à l'opposition des catholiques d'extrême droite et des socialistes (9, 25 février, 26 avril, 24 mai, 4 août) ; le gouvernement ne veut pas concéder à la France l'utilisation du réseau ferré luxembourgeois en cas de guerre offensive, le chef d'état-major est d'un avis contraire (16, 25 février, 15 mars, 17 juin, 21 décembre) ; stagiaires belges dans la cavalerie britannique (2 mars) ; lord Ramsay est nommé attaché naval à Bruxelles (23 mars) ; armements ; fabrications d'armes et de munitions (28 mars, 22 mai) ; projet de création d'un comité d'étude de mobilisation de la nation (5 mai) ; les souverains anglais (11, 18 mai) et italiens sont accueillis sans enthousiasme (19 octobre) ; la discussion du projet de loi sur l'éducation physique et la préparation militaire est reportée (13 mai, 13 juin) ; relations avec la Hollande (24 mai) ; pertes de l'armée durant la guerre (2 juin) ; La Haye déclare indésirable l'attaché militaire anglais déjà accrédité à Bruxelles (8 juin) ; fêtes franco-belges de Liège (15 juin) ; des emplois civils seront assurés aux engagés libérés (17 juin) ; au moment de l'adoption du budget de la Défense, les Flamands exigent la création d'unités flamandes (23 juin) ; manœuvres au camp de Beverloo (13 juillet) ; le matériel d'artillerie est hétérogène (19 juillet) ; visite du maréchal French à Ypres (2 août) ; effectifs, matériels, approvisionnements, production de guerre entre 1914 et 1918 (29 septembre, 30 octobre) ; position du Comité national populaire belge sur le séparatisme rhénan (4 octobre) ; la réduction du service est une loi funeste, estime le chef d'état-major ; le projet de loi de recrutement divise le Parlement (8, 23 novembre) ; insuffisance de la propagande française, dans la presse (16 novembre) ; répartition des unités de chasseurs, de chars, du génie et de l'aéronautique de l'armée française (28 décembre et 17 février 1923). 1923 : la discussion et le vote des projets de lois militaires sont retardés par la loi sur la question linguistique (4 janvier, 15, 22 février, 8 juin) ; participation modique et timide de l'armée belge à l'occupation de la Ruhr (11, 24, 31 janvier, 28 février) ; études sur les écoles militaires (52 p., 15, 17 février) ; essais de fusils mitrailleurs (26 février) ; vote de la loi de milice (28 février) ; l'utilisation éventuelle des voies ferrées belges pour le transport des troupes françaises (7 mars, 8 août) ; notice sur l'armée (15 p., 13 mars) ; propositions de stages d'officiers français (14 mars, 26 avril) ; l'action du ministre de la Défense se heurte à l'opposition des socialistes et de la droite flamingante (15, 23 mars) ; d'après l'ancien attaché militaire belge à Rome la politique française dans la Ruhr développe un courant francophobe en Italie (19 mars) ; revue du 8 avril (11 avril) ; les projets de loi sur le service militaire et les oppositions et tractations qu'ils entraînent (12 avril, 3, 17, 23, 31 mai, 7 juillet) ; la Belgique désire appliquer aux cantons d'Eupen et Malmedy un régime de service militaire analogue à celui de l'Alsace Lorraine (1er mai) ; manœuvres au camp de Beverloo (11 juillet, 7 août) ; le cabinet Theunis obtient le vote d'une partie de la loi militaire (18, 19 juillet) ; démission du ministre Devèze (26 juillet, 2 août) remplacé par Forthomme (9 août) ; vote et texte de la loi de recrutement fixant le service à 12 mois (2 août) ; divergences au sein de l'état-major sur la réduction du nombre de divisions (8 août) ; l'organisation de la nation en temps de guerre n'a pas progressé depuis 1921 (8 août, 4 octobre, 18 décembre) ; renseignements sur l'artillerie française fournis à l'armée belge (8 août) ; plan d'une réorganisation de l'armée qui est déjà entreprise sans attendre le vote des Chambres (22 p., 22 septembre, 23 octobre, 15 novembre) ; décentralisation excessive de l'emploi de l'artillerie (8 octobre) ; commentaires d'un article du capitaine Kuntz sur les opérations de l'armée belge en 1914 (17 octobre, 15, 20 novembre) ; commémoration de combats (18 octobre) ; opinions sur le séparatisme rhénan (7, 15 novembre) ; le problème de l'extradition des Allemands auteurs d'attentats contre les soldats français en Rhénanie (7 novembre) ; aéronautique civile et militaire (étude, 33 p., 26 décembre).
- 1924 : le problème de la flamandisation de l'université de Gand (8 janvier) ; francophilie du général Joostens (21 janvier) ; numéro du Vétéran belge mettant fin à la polémique sur les opérations belges en 1914 (23 janvier) ; liste de produits chimiques fabriqués en Belgique (29 janvier) ; polémiques au sujet du prochain accord économique franco-belge (31 janvier) ; importante réduction du budget de la Défense (7, 28 février) ; l'E.M.A. demande des renseignements sur le réseau ferré belge (8, 28 février, 15, 24, 25 mars) ; caractéristiques et défauts de l'enseignement militaire (7 février, 30 avril, 2 mai, 9 octobre) ; jugement sur le ministre Forthomme (21 février) qui se maintient dans le nouveau cabinet Theunis (28 février, 13 mars) ; création d'une commission des armements d'artillerie (12 mars) ; la Belgique peut céder de la fonte et de l'acier à la France en temps de guerre (13 mars) ; le général Maglinse souhaite des échanges nombreux avec l'armée française (20, 22 mars, 1. as 8 juillet) ; étude du capitaine Donnat sur la division légère belge (24 mars, 10 avril) ; potentiel en artillerie en cas de mobilisation (29 mars) ; un député se préoccupe de la situation précaire de l'aéronautique (14 avril) ; articles de presse sur la crise militaire (1er mai) ; devant le nouvel attaché militaire le roi exprime sa crainte que l'armée de milice ne soit exposée aux attaques d'une armée de métier (16 juin) ; manœuvres et tirs d'artillerie (19 juin, 5 août, 3 septembre) ; service militaire des jeunes Français résidant en Belgique (3 novembre). 1925 : évaluation des possibilités d'entente militaire de la Hollande avec la Belgique, la France et l'Angleterre (14 février) ; le cinéma comme moyen d'instruction dans l'armée (2 mars, 15 avril) ; travaux et tendances de l'enseignement de l'école de guerre par des officiers français stagiaires (16, 23 avril) ; qui sera ministre de la Défense ? (23 avril) ; emploi et instruction de l'aéronautique militaire (23 avril, 7 mai) ; accueil chaleureux du maréchal Foch (7 mai) ; il faut accroître l'influence française à l'université de Louvain (10 juin) ; Forthomme est nommé haut commissaire en Rhénanie (16 juillet) ; l'installation du nouveau ministère laisse prévoir une diminution du temps de service et des effectifs (1, 7, 14 octobre, 2, 17, 25 novembre) ; la motorisation complète de l'artillerie est envisagée (26 octobre, 3, 24 décembre) ; composition de l'armée d'occupation (29 octobre) ; effets de la réduction des effectifs et des cadres (texte de la loi) sur l'organisation de l'armée (25 novembre, 16, 23 décembre) ; prochaine démission du général Kestens ministre de la Défense (24, 30, 31 décembre) ; état actuel de la motorisation dans l'armée, études en cours (documents d'origine belge 1923-1925). 1926 : détails sur l'organisation de l'Union civique appelée à jouer un rôle dans les conflits sociaux (6 janvier) ; le général Kestens démissionne sur la question de la réduction du temps de service militaire (7, 14, 21 janvier) et le général Maglinse qui demande sa mise en congé (28 janvier) est remplacé par le lieutenant-général de Longueville (11 février) ; « La Belgique n'a jamais été à vendre » article (11 février) ; manifestations lors de la translation des drapeaux des régiments dissous (11, 18 février, 4 mars) ; représentation d'une pièce de théâtre antimilitariste à Bruxelles (18, 25 février) ; détails sur la Légion nationale, ligue nationaliste et les Gardes rouges, milice prolétarienne (18 mars, 20 avril) ; la commission de la défense nationale adopte le projet de service à 10 mois (1er avril) ; rapports d'ensemble sur l'armée : matériels, titulaires des commandements, organisation, mobilisation (8 avril, 24 juin, 1er juillet) ; revue du 8 avril, commentaires sur l'armée (15 avril) ; jugement sur le général Termonia (29 avril) ; adoption de la normalisation des ajustages (4 mai) ; soldes et indemnités dans l'armée (20 mai) ; le colonel Galet remplace le général de Longueville (3 juin) ; il projette des économies (17 juin) et estime ne pas pouvoir compter sur l'armée en cas de troubles (1er juillet) ; les officiers sont déçus par les mesures de réorganisation (15 juillet, 26 août) ; la réduction du budget militaire rend aléatoire une mobilisation rapide (22, 29juillet) ; réorganisation d'unités (2 septembre, 14 octobre) ; influence militaire de la Grande-Bretagne sur la Belgique (16 septembre) ; un incident au sujet de l'avancement des officiers supérieurs est évoqué par la presse ; le gouvernement cherche à développer une industrie aéronautique (30 septembre) ; convocations de réservistes depuis 1920 (7 octobre) ; mariage du prince Léopold avec la princesse Astrid (12, 18 novembre) ; 30 000 engagés sont nécessaires si l'on veut réduire le temps de service estime le ministre de la Défense (18 novembre) ; l'augmentation du prochain budget militaire est plus apparente que réelle (25 novembre) ; pour l'opinion le véritable danger allemand réside dans l'activité des associations patriotiques (9 décembre) ; polémique sur la bataille de l'Yser (novembre-décembre) ; discussion à la Chambre au sujet de la réorganisation de l'armée (23 décembre) ; congrès du parti socialiste (30 décembre) ; coupures de presse. 1927 : remaniement ministériel (6, 20 janvier) et déclaration du premier ministre sur les projets du gouvernement (27 janvier) ; mutations dans l'état-major de l'armée (27 janvier, 16 février) ; déclaration du ministre de la Défense sur les problèmes de sécurité du pays ; aviation et D.C.A. ; instruction des sous-officiers et engagés volontaires (24 février) ; Vandervelde réclame le service à six mois (3 mars) ; travaux de la commission chargée d'étudier le problème des fortifications qui préoccupe l'opinion et la presse (17, 31 mars, 7 avril, 29 juin) ; la question d'Eupen-Malmédy (17 mars) ; travaux de reconnaissance de frontières exécutés par l'École de guerre (7 avril) ; anglophilie de certains milieux (14 avril) ; remise de la croix de guerre à la ville de Namur (2 juin) ; l'enseignement dispensé à l'École de guerre s'inspire de l'exemple français (30 juin) ; questions militaires discutées au Sénat (7, 13 juillet) ; renseignements extraits de l'aide mémoire de l'École de guerre (21 juillet) ; cérémonies et inauguration d'un mémorial à Laeken (21 juillet) et Ypres (28 juillet) ; crédits destinés aux fortifications de Liège (4 août) ; réorganisation de l'enseignement à l'École de guerre (textes, 11 août) ; le service de six mois serait adopté (11 août) ; la convention militaire franco-belge est compromise dans ses possibilités d'exécution (ambassadeur, 25 août) ; le discours du maréchal Pétain à Dinant est mal accueilli par la presse catho-lique et flamingante (5 septembre) ; le Luxembourg, d'après le général Galet, ne veut pas d'ingérence belge dans l'exploitation du barrage de l'our (19 octobre) ; idées défensives du commandement (27 octobre) ; le réseau ferré belge a tout intérêt à adopter le système de frein continu retenu en France (9, 18 novembre) ; excédent de cadres supérieurs et déficit de cadres subalternes dans l'armée (29 Novembre) ; régiment d'artillerie de forteresse de Liège (9 décembre) ; il ne faut pas exagérer l'influence des prises de positions des militaires dans la presse au sujet de la loi militaire (15 décembre) ; contre-projet d'un député libéral sur le service à 6 mois (22 décembre) ; prochaines visites de champs de bataille de Belgique par des écoles militaires françaises (29 décembre et 2 janvier). 1928 : mise au concours de tracteurs d'artillerie (19 janvier, 8 novembre) ; le général Galet consentirait au recrutement régional en échange du maintien du temps de service actuel (26 janvier, 28 février) ; on reparle des avantages de l'ancienne neutralité (26 janvier) ; la tendance belge au désarmement (16 février) ; discussions de la Commission mixte sur le service à six mois (6 mars, 5 avril, 31 mai) et opinions sur cette question (8 mars, 18, 26 avril) ; la revue militaire du 5 avril laisse le public indifférent ; notes sur les codes commerciaux chiffrés utilisés en Belgique (12 avril) ; discussion de la loi militaire à la Chambre ; le gouvernement est décidé à aboutir (19, 26 juillet, 2, 9, 14, 23 août) ; les manœuvres au camp de Beverloo illustrent les idées défensives du commandement (10, 11, 13, 27 septembre) ; commande yougoslave aux fabriques d'armes d'Herstal (11 octobre) ; composition, recrutement, implantation, statut des troupes indigènes de la force publique du Congo belge (34 p., 18, 30 octobre, 20 p., photographies, 22 novembre) ; liste des terrains d'aviation civils et militaires ; commandes d'avions militaires (31 octobre, 6 décembre) ; publication en Belgique de prétendus mémoires d'un lieutenant d'Abd el-Krim (15 novembre) ; affectation militaire des jeunes Français résidant en Belgique ; opinion du général Galet sur le nouveau réglement des grandes unités et la nouvelle loi militaire ; critique de celle-ci dans le Temps (22 novembre) ; études sur la défense aérienne du territoire (11 p.) et la mobilisation de l'armée (46 p., 29 Novembre, 5, 6 décembre) ; réorganisation de l'aéronautique militaire (12, 27 décembre).
- Comptes rendus de renseignements militaires, rédigés par l'attaché militaire, concernant la législation, le budget, le recrutement, la durée du service, le statut et l'instruction des personnels (1920-1927) ; quelques notes de la S.R. et de la S.A.E. sur les mêmes sujets (1922-1927, 1936, 1938).
- Rapports annuels des attachés militaires : marine, ressources et industries, ports, chemins de fer, ponts et chaussées (notice), le Congo belge pendant la guerre (134 p., 29 décembre 1919) ; organisation, mobilisation et instruction de l'armée (68 p., 20 février 1920) ; démographie, sociétés politiques, tableaux de l'économie, des questions politiques et de l'organisation militaire (112 p., 1er février 1922) ; population, questions économiques, trafic des lignes aériennes, Congo belge, organisation et partis politiques (157 p., 10 février 1923) ; tableau de la situation économique avec de nombreuses statistiques (244 p., 11 février 1924) ; situation politique et économique, organisation militaire (115 p.), 29 janvier 1925 ; 49 p., 11 février 1926 ; 85 p., 17février 1927 ; 301 p., 1928, 305 p., 1929, accompagnés de documentation imprimée).
- 1929 : note du général Galet sur les possibilités d'utilisation des terrains d'aviation belges par l'armée française (3 janvier) ; visite de l'École militaire (4 janvier) ; « La Belgique militaire » ouvre ses colonnes aux rédacteurs français (10 janvier) ; renseignements sur la force publique du Congo belge et son implantation (10 janvier, 14 février, 30 mai) ; la propagande allemande dans les cantons d'Eupen et Malmédy est soutenue par le clergé (21, 24 janvier) ; d'après le capitaine Hautcœur, stagiaire à l'École de guerre, les conversations hollando-belges au sujet de la défense du Limbourg sont assez avancées (24 janvier) ; la construction du canal Liège-Anvers, décidée en 1928, n'a reçu qu'un commencement d'exécution (27 février, 1er août) ; le départ du général Blavier ; les activités de la société des officiers français en Belgique (7 mars) ; la sûreté militaire est rattachée comme « sûreté de l'État » au ministère de la Justice (20 mars) ; polémique de presse au sujet des services d'espionnage (28 mars) ; composition de la division de cavalerie (avril) ; éloge funèbre du maréchal Foch à l'École de guerre (11 avril) ; mutations et nominations dans le haut commandement (11 avril, 18 juillet, 26 décembre) ; le fusil mitrailleur Browning sera préféré au Hotchkiss parce qu'il peut être fabriqué par Herstal (avec un dossier du 2e Bureau sur cette question, 15 avril etpassim) ; programme d'extension de l'aviation civile (25 avril, 10 juin, 25 juillet) ; le futur régime d'exploitation des chemins de fer luxembourgeois ne 1èsera pas les garanties stratégiques données à la France en 1927 (avec une lettre du ministre des Affaires étrangères de Belgique et le texte des accords, 25 avril, 2 mai) ; le général Swagers est nommé commandant de l'École de guerre (25 avril) ; fin de la polémique sur le rôle de l'armée belge dans les combats de l'Yser en octobre 1914 (articles, lettres, témoignages, passim) ; pronostics et résultats des élections législatives (10, 30 mai) ; lois budgétaires (textes officiels) et commentaires (10 mai) ; un crédit extraordinaire de 50 millions est voté pour lutter contre la famine au Ruanda-Urundi et mettre en valeur ces territoires (16, 18, 30 mai) ; le général Nuyten est nommé sous chef d'état-major général (23 mai) ; le général Galet expose à l'attaché militaire ses projets pour 1930 (4 juin) ; future construction du fort d'Eben-Emael ; utilisation du chemin de fer à voie étroite du camp de Beverloo ; le chemin de fer du Benguela sera prochainement prolongé jusqu'au Katanga (12 juin) ; activités de la Sabena au Congo belge (20 juin) ; emploi des cibles automatiques dans l'armée (27 juin) ; analyse de l'ouvrage Le Déblocus d'Anvers du major Menzel (3 juillet) ; les wagons belges vont être équipés des freins Westinghouse et Kunze-Knorr (4, 31 juillet) ; la cavalerie belge (étude) s'intéresse à la motorisation (18, 25 juillet) ; la publication du Livre gris belge sur le conflit hollando-belge marque la fin des négociations en vue de la révision des traités de 1839 ; historique des relations des deux pays ; visite de deux croiseurs italiens à Anvers (31 juillet) ; expériences de tir sur des abris en béton destinés à la deuxième ligne de défense avec une copie du rapport de l'état-major belge sur ces expériences (22 août, 3, 26 octobre) ;.organisation, armement, nouveau règlement de l'infanterie, des renseignements sur le projet de loi français sur la répression de l'espionnage sont transmis à la Belgique (29 août) ; sociétés françaises de préparation militaire en Belgique (2 septembre) ; livraison de charbons belges à l'Italie en 1928 et 1929 (12 septembre) ; visite de la fonderie royale de canons et de la manufacture d'armes d'État de Liège (9 octobre) ; conception de la défense et programme des travaux de la position fortifiée de Liège (5,28 novembre) ; création d'une commission de la motorisation de l'armée (21 novembre) ; situation administrative, sociale, économique du Ruanda-Urundi en 1928 (28 novembre) ; travaux de la commission chargée de choisir un avion de chasse (28 novembre, 19 décembre) ; répartition du contingent en 1930 ; la nouvelle loi militaire prescrit l'instruction dans la langue des recrues (24 décembre) ; statistiques d'exploitation des chemins de fer en 1928 (26 décembre) ; renseignements sur les voies navigables avec une carte (27 décembre). 1930 : les adjudications de travaux pour la réfection des forts de Liège (3 janvier) ; entretien avec le général Galet sur l'organisation et les crédits des fortifications et de la D.C.A. (3,8,9 janvier, 13 février) ; trafic du port d'Anvers en 1929, avec un plan (9 janvier) ; éloge de l'ouvrage du général Azan Les Belges sur l'Yser (9 janvier, 3 février) ; participation française à l'exploitation d'Anvers (16 janvier, 23 juillet) ; le lieutenant-colonel Deguent chargé d'établir un projet de défense du territoire se renseigne sur l'emploi des crédits que la France consacre à ses fortifications (16, 30 janvier, 13 février, 1er mai) ; l'adjudication des travaux du canal Liège-Anvers à deux firmes allemandes n'est pas du goût des militaires (23 janvier, 6 février, 12, 19 mai) ; l'Italie accomplit un effort important de défense anti-aérienne (23 janvier) ; coût, état des armements belges (25 janvier, 2 avril) ; succès du Dewoitine au concours d'avions de chasse (28, 30 janvier, 3 février, 10 avril, 1er mai) ; analyse du rapport sur l'administration du Congo en 1928 (6 février) ; budget de l'aéronautique civile ; un rapport (texte) de la commission sénatoriale de la Défense fait ressortir les lacunes graves de l'armement et du système de fortification (13 février) ; départ pour l'Éthiopie d'une mission militaire belge (25 février) ; transfert des cendres des soldats français tombés au siège d'Anvers de 1832 (26 février, 20 mars) ; le tracé du canal Liège-Anvers et la question du respect de la navigabilité de la Meuse sur territoire hollandais (rapports, cartes, documents imprimés, 27 février, 27 mars, 28 juin) ; liste des officiers étrangers stagiaires dans l'armée (27 février) ; emploi du cinéma pour l'instruction des troupes (13 mars) ; des matériels anti-chars sont à l'étude ; nombre de véhicules automobiles en circulation ; texte du futur réglement sur l'éducation physique dans l'armée (27 mars) ; caractéristiques du mortier de 76 et du canon de 47 (28 mars, 6 juin, 9 juillet) ; grâce à l'intervention de l'ambassadeur de France la société des potasses d'Alsace continuera à exporter sa production par Anvers et non par Rotterdam comme elle l'avait envisagé (2 avril) ; les essais du fusil mitrailleur Hotchkiss (3 avril, 3 juin) ; revue militaire du 8 avril (10 avril) ; limites d'âge des officiers (16 avril) ; voyage de Millerand à Bruxelles (coupures de presse, 30 avril) ;. « Le siège de la citadelle d'Anvers » par le major Delvaux, brochure (1er mai ; le général Galet expose à l'attaché militaire les grandes lignes du système de défense et en particulier la façon dont il envisage une intervention des armées françaises (6 mai, ms) ; notes de l'E.M.A. étudiant les problèmes de la couverture et des destructions en Belgique en cas d'intervention française (27 mai) ainsi que l'organisation défensive du territoire belge (mars) ; les expériences de tirs sur abris bétonnés intéressent l'état-major français (8 mai, 11, 19 juin) ; incident à la Chambre au sujet du régime linguistique à appliquer dans l'armée (12 mai) et texte de la loi d'application de ce régime (22 mai) ; le Congrès de la Fédération des anciens combattants du Nord de la France se tient à Bruxelles (21 mai) ; le roi inaugure les travaux du canal Liège-Anvers (4 juin) ; n'ayant pu se décider sur un modèle d'avion de chasse unique la Belgique commanderait des Dewoitine et des Avia (5 juin, 10, 30 juillet, 20 septembre) ; difficultés financières de la fabrique d'avions Herstal (5 juin, 18 septembre) ; un député frontiste demande la publication de l'accord militaire franco-belge (11 juin) ; fête militaire à l'occasion du centenaire du pays (11 juin, 10 juillet) ; travaux du canal Albert (19 juin, 20 novembre) ; des matériels d'artillerie belges seront essayés au polygone de Bourges (25 juin) ; l'esprit de revanche allemand fait naître des craintes en Belgique (9, 30 juillet) ; des responsables militaires belges sont invités à visiter la ligne Maginot (10, 28 juillet, 9 août, 16 septembre, 3 octobre) ; préparation militaire française en Belgique (17 juillet) ; faute de crédits les travaux de la position fortifiée de Liège seront retardés d'un an (23 juillet) ; le fusil mitrailleur Hotchkiss est adopté (29 juillet, 18, 30 septembre, 1er, 8 octobre) ; un journal allemand réclame le retour à l'Allemagne d'Eupen et de Malmédy (30 juillet) ; la firme Caproni étudierait un modèle d'avion cuirassé ; des règlements militaires sont traduits en flamand (30 juillet) ; organisation du ravitaillement de l'armée en temps de guerre ; un officier est accusé d'espionnage au profit de l'Allemagne (7 août) ; l'aviation militaire belge s'équipera finalement en avions anglais (passim, septembre-décembre) ; l'Italie encouragerait financièrement les exportations de matériels de guerre (30 septembre) ; la commission de motorisation est favorable au tracteur d'artillerie Citroën (9 octobre, 20 novembre, 20 décembre) ; organisation de l'école d'application d'infanterie (14 octobre) ; la Belgique commande à la France 100 000 obus de 75 antiaérien (27 octobre, 29 Novembre) ; Galet obtient du gouvernement un crédit immédiat de 350 millions pour les travaux de fortifications (29 octobre) ; le ministre de la Défense revient sur sa décision d'adopter le fusil mitrailleur Hotchkiss et adopte le Browning (29 octobre, 6, 13, 20 novembre) ; situation juridique du Luxembourg au point de vue international (1er novembre) ; le général Galet expose au général Chardigny son plan et son dispositif de défense conçus sur les mêmes bases qu'avant 1914 (1er novembre, 16, 20 décembre) ; le gouvernement désirerait équiper les forts d'Anvers avec coupole de 75 française (5 novembre) ; « Le Peuple », journal socialiste, mène une campagne contre l'impréparation de l'aviation militaire (6, 13, 21 novembre, 1er, 11 décembre) ; budget de la Défense et de la gendarmerie pour 1931 (6, 12 novembre) ; la liaison aérienne avec le Congo va être concurrencée par la ligne anglaise Le Caire-Le Cap (20, 21 novembre, 3, 31 décembre) ; l'aviation civile anglaise, article (29 Novembre) ; une publication allemande juge contraire à la neutralité les conventions anglo-belges de 1906 ; réponse de la presse belge (11, 19 décembre) ; les socialistes réclament la suppression de l'accord militaire franco-belge (16, 31 décembre).
- 1931 : publication d'articles allemands et belges relatifs à la guerre, aux responsabilités du conflit et aux conventions anglo-belges de 1906 (2, 20 janvier, 27 février, 16 avril, 11 mai, 1er, 8, 24 juin) ; le général Galet est favorable à une collaboration avec les centres de renseignements de D.C.A. français (3 janvier, 18 février) ; motorisation dans l'armée (6, 8 janvier, 19 février. 18 juin) ; la Belgique protège son marché national à l'occasion d'achats de trinitrotoluène (8 janvier) ; l'achat d'avions anglais (8, 12 janvier, 26 février, 29 mai) entraîne une interpellation à la Chambre (textes, 28 janvier, 3 février) et des difficultés à la seule usine aéronautique du pays (23 mars) ; équipement du fantassin (8 janvier, 13 février) ; le gouvernement s'attend à des attaques socialistes sur sa politique de défense (8, 14 janvier) ; critique de l'organisation défensive (15 janvier, 12 février) ; incidents flamingants à Gand (15 janvier) ; exposé des relations internationales du pays à l'occasion du vote du budget des Affaires étrangères (23 janvier) ; une revue hollandaise critique les accords franco-belges (27 janvier) mais Devèze estime qu'il serait « absurde et criminel d'y renoncer » ; l'armée n'est toujours pas équipée en fusils mitrailleurs (3 février) ; le ministère demande des crédits supplémentaires destinés aux fortifications (4, 10 février, 29 avril) ; l'état-major hollandais dément des bruits de conversations militaires avec la Belgique (5 février) ; organisation d'unités de 155 court tous terrains (6, 23 février) ; modification du plan de défense de la région de Liège (6 février) ; des articles à caractère officieux de la « Nation belge » exposent la doctrine de défense, avec une analyse de la S.A.E. (10, 19 février, 3, 4 mars) ; la construction du canal Albert se heurte à des difficultés techniques (10 février) ; effectifs militaires du Congo (11 février) ; interpellation à la Chambre sur l'usage des langues dans l'armée (12 février) ; l'Allemagne aurait en projet la construction d'une voie ferrée à la frontière du Luxembourg, calqué ; renseignements statistiques sur l'armée destinées à la conférence du désarmement ; recul du commerce extérieur en 1930 (19 février) ; une revue libérale critique l'anglomanie des classes dirigeantes (26 février) ; la mission argentine d'achats, très active particulièrement en Allemagne, transfère son siège de Bruxelles à Paris ; les mémoires du prince de Bulow évoquent la proposition de partage du Congo belge faite en 1910 par l'Allemagne à l'Angleterre et à la France (26 février) ; confirmation officielle de l'accord franco-belge de 1920 (1, 4 mars) ; la construction des deux tunnels sous l'Escaut à Anvers est sur le point de commencer (2 mars) ; liste des établissements travaillant pour la Défense nationale (3 mars) ; les membres de la gauche libérale posent au général Galet, à l'occasion d'un exposé de celui-ci, des questions sur l'organisation défensive (12 mars) ; la situation économique et financière de la Belgique et du Congo, en particulier d'après l'ouvrage de Fernand Baudhuin La Belgique après le Centenaire (16, 23 mars, 27 mai) ; expériences de ventilation de casemates (19, 24 mars) ; la tête de pont de Gand, élément du réduit national ; exposé du ministre Broqueville à la Chambre sur le système défensif du pays ; achèvement du chemin de fer du Benguela (19 mars) ; traduction de larges extraits (71 p) des mémoires du baron von der Lancken, avec un commentaire de l'attaché militaire (13 avril) ; documentation provenant du Service historique de l'armée belge concernant les destructions effectuées en 1914 à l'Est de la ligne Sambre et Meuse et pour la défense des places de Namur et de Liège, avec un croquis ; le Congrès socialiste vote une notion sur le désarmement (16 avril) ; si la liaison aérienne Belgique-Congo, en collaboration avec la France, n'est pas rapidement réalisée le trafic profitera à la ligne anglaise Le Caire-Le Cap (20 avril) ; le C.S.D.N. belge est d'avis d'utiliser les anciens forts dans le système défensif et d'étendre ce système sur la rive droite de la Meuse (23, 25, 30 avril) ; inauguration de la ligne aérienne Londres-Malmoë ; rapport annuel de la Chambre de commerce française d'Anvers pour 1930 ; la question d'Èupen et Malmédy ; les modifications au système de défense tiennent compte des protestations (texte) des populations wallones (4 mai) ; analyse du rapport annuel de 1929 sur l'administration du Congo belge (5 mai) ; nouvel exposé du ministre de la Défense à la Chambre sur le projet d'organisation défensive (10 mai) ; examens du budget du Congo, du Ruanda Urundi pour 1931 (18 mai) et du ministère des Finances (21 mai) ; le ministère Jaspar démissionne au cours de la discussion des crédits destinés aux fortifications (23, 28 mai) ; il est remplacé par le ministère Renkin (28 mai, 6 juin) ; analyse et texte (70 p.) du rapport d'exploitation des chemins de fer belges en 1930 (29 mai) ; des participants de Sarre et d'Eupen-Malmedy assistent au congres du Deutchtum a Aix-la-Chapelle (30 mai) ; vol de documents militaires au fort de Pontisse (15 juin) ; conditions d'application des règles du service à court terme dans l'armée (18 juin) ; position du ministère Renkin sur la question des crédits militaires (20 juin) ; la Sabena prend des mesures préparatoires à l'organisation de la ligne Belgique-Congo (23 juin) ; l'avenir démographique du pays ; la Chambre vote le crédit de 210 millions demandé par le gouvernement pour les fortifications (26 juin).
- 1931 : la firme aéronautique Sabca va construire des automobiles (9 juillet) ; renseignements statistiques sur les effectifs militaires réunis par la Conférence de Genève (9, 23 juillet) ; propagande allemande à Eupen (10 juillet) ; la firme Minerva achète à Citroën la licence du propulseur Kegresse-Hinstin (14 juillet) ; le fusil mitrailleur Browning de fabrication belge entre en service (14, 29 juillet) ; dossier d'un exercice de couverture sur la frontière orientale dans la région de Spa (22 juillet) ; arrivée à Bruxelles des premiers avions commandés en Angleterre (23 juillet, 23 septembre) ; carrière du général Tasnier nouveau chef de cabinet du ministre de la Défense (24 juillet) ; les organisations de propagande allemandes en Belgique (27 juillet) ; manœuvres du corps de cavalerie, son déficit en chevaux et en matériels (11 p. et 2 cartes, 29 juillet) ; les armements clandestins de l'Allemagne, texte d'un exposé parlementaire ; extraits de presse concernant un prétendu accord militaire franco-hollando-belge (6 août) ; opinions du colonel Michem sur le système défensif ; état des travaux de fortifications de la région de Liège et de Namur (17, 18 août, 30 septembre) ; expériences de tirs de D.C.A. et exercices de défense antiaérienne (22 septembre, 8, 15, 21 octobre) ; réduction de 25 % du budget militaire de 1932 (29 septembre, 10 novembre) ; essais du nouveau canon de 120 (9 octobre) ; la ligne Belgique-Congo pourrait être exploitée en accord avec Imperial Airways, estime le colonel Monlaert (14 octobre) ; 20 avions de reconnaissance vont être commandés en Angleterre (15 octobre) ; instruction, armements, valeur de l'infanterie ; dossier des manœuvres au camp de Beverloo (20 octobre) ; analyse d'un article du général Galet sur le rôle du roi en 1914 ; le problème des carburants en Belgique (21 octobre) ; conceptions du général Galet sur la couverture et la mobilisation (ms. 28 octobre) ; travaux de l'école de perfectionnement des officiers de réserve français résidant en Belgique ; potentiel de l'aviation militaire ; de nouveaux achats d'appareils anglais sont envisagés (3 novembre) ; budget de la gendarmerie (4 novembre) ; pèlerinage allemand à Ypres (5 novembre) ; artillerie d'ac-compagnement d'infanterie (10 novembre, 2 décembre) ; activité de la fabrique d'armes d'Herstal (16 novembre) ; les problèmes de tracé du canal Albert à hauteur du seuil Meuse-Escaut (avec un croquis, 16 novembre, 7, 30 décembre) ; matériels fabriqués par la fonderie de canons de Liège ; armement du fort de Barchon (18 novembre) ; la publication des mémoires du général Galet est accompagnée de polémiques et de critiques des presses belges et françaises (25 novembre et passim 1931-1932) ; thèses de Devèze sur la question du désarmement ; composition de la délégation belge à Genève (2, 3, 17, 23 décembre) ; la presse d'Outre-Rhin cherche à disculper l'Allemagne des accusations d'atrocités commises en Belgique en août 1914, textes d'articles (7, 23 décembre) ; bref historique de l'organisation militaire du Congo belge ; un journaliste allemand rouvre la querelle sur les conventions anglo-belges de 1906 (14 décembre) ; achat de postes de commandement antiaériens Vickers (29 décembre) ; nombre des étrangers en Belgique (30 décembre).
- 1932 : nouvelle commande d'avions anglais (6 janvier, 12 février, 15, 19 avril) ; carrières et opinions des membres de la délégation à Genève (6, 13, 20, 23 janvier, 8 février) ; les polémiques soulevées par l'ouvrage du général Galet continuent (6, 13 janvier, 15 mars, 21 avril, 9 mai) ; modalités des liaisons réa-lisées ou futures entre la Belgique et la France dans le domaine de la défense antiaérienne (7 janvier, 18 février, 4 avril, 21 juillet) ; la Wallonie s'inquiète de l'absence d'organisations défensives sur sa frontière (9 janvier) ; remarques sur l'état des effectifs militaires fourni par la Belgique à Genève (11 janvier) ; textes et analyses des projets d'organisation de la défense exposés par les rapporteurs du budget et par le ministre (12 janvier, 9 février, 4 avril) ; état numérique des matériels et personnels de l'aviation (13, 27 janvier) ; épreuves de réception des nouveaux fusils mitrailleurs Browning (13 janvier) ; tracé et travaux du canal Albert (16 janvier, carte, 23 février, 20 juillet, 27 septembre, 2 novembre) ; opinions du ministre de Grèce à Bruxelles sur le problème du désarmement (21 janvier) ; création du régiment de forteresse de Namur (4 février) ; la Sabca va construire 5 avions trimoteurs destinés à la ligne du Congo (10 février) ; texte d'une conférence : « Qu'est-ce que la paix ? » de Guiriati, secrétaire du parti fasciste italien ; « Le Peuple » attaque la fabrication d'armes de guerre par l'industrie privée, et en particulier la société Schneider (11 février) ; projet de vols d'entrainement en France d'escadrilles belges ; montant des indemnités attribuées aux officiers spécialistes (16 février) ; nomination de nouveaux aides de camp du roi (17 février) ; articles allemands (textes) sur la violation de la neutralité belge et la destruction partielle de certaines villes belges en 1914 (passim) ; opinions du général Galet sur les travaux de la conférence de Genève (24 février, 14 juillet, 17 novembre) ; accidents d'avions (25 février, 2 novembre) ; la Commission des Affaires étrangères du Sénat définit l'attitude belge à Genève et fait le point des relations avec les Pays-Bas, en particulier dans le domaine économique (29 février) ; le recensement de 1930 a fait apparaître une augmentation de la population flamande (9 mars) ; analyse de la convention aérienne hispano-belge ; analyse du rapport sur l'administration du Congo belge en 1930 (10 mars) ; voyage du roi au Congo belge (12 mars, 7 avril) ; commandement de l'armée et responsabilité royale (15 mars) ; exploitation de la ligne Le Caire-Le Cap par Imperial Airways (7 avril) ; des canons belges sont essayés au polygone de Bourges (12 avril, 22 juillet, 13 octobre) ; précisions du Service historique belge sur la retraite en France de l'armée belge en 1914 ; les pourparlers avec la Hollande relatifs aux communications fluviales et à la révision des Traités échouent à cause de l'intransigeance des armateurs de Rotterdam (13 avril) ; « La Libre Belgique » soutient la proposition américaine d'abolition des armes offensives (16, 21 avril) ; concours de mitrailleurs d'avions (21 avril, 6 octobre) ; la future ligne aérienne Belgique-Congo (passim) ; le centre de gravité du système de défense belge se déplace vers l'Est (27 avril) ; analyse d'articles de presse sur l'organisation défensive (28, 30 avril, 13 juin) ; exposé d'ensemble, destiné au général Weygand, des programmes et état des travaux de fortifications belges (12 mai) ; un groupe de généraux belges ira visiter la ligne Maginot (18 mai) ; l'influence de la droite flamande se trouve renforcée au sein du nouveau cabinet Renkin (24 mai) ; « Le Soir » rappelle les activités du chancelier von Papen lorsqu'il était attaché militaire à Washington pendant la guerre (9 juin) ; projets du nouveau ministre de la Défense (9, 30 juin) ; création de la « carte du Feu » destinée aux anciens combattants (15 juin, 6 juillet) ; recrutement et obligations militaires, texte officiel (18 juin) ; situation des transports (20 juin, 22 juillet) ; statuts de la mutuelle de la gendarmerie (23, 27 juin) ; la nouvelle voie ferrée Léopoldville-Matadi (30 juin) ; l'École de guerre étudie la couverture et la défense de la frontière orientale (1 dossier, 7 juillet) ; dispositif de la gendarmerie et des troupes de maintien de l'ordre lors des grèves du Hainaut (calque, 13 juillet) ; incident à la frontière germano-luxembourgeoise ; dossier des manœuvres de la cavalerie (15 juillet) ; répercussion en Rhénanie de l'état de dictature créé par von Papen à Berlin. (22 juillet) ; une escadrille belge se rend en visite en Hollande ; organisation de la force publique du Congo (12 août) ; jugement du général Gillieaux sur l'aviation (16 août) ; la propagande allemande s'exerce librement à Eupen et Malmédy (17 août, 13, 27 octobre) ; texte d'une interview du comte de Broqueville sur les problèmes de défense (3 septembre) ; marques distinctives des avions belges (19 septembre) ; il convient de réduire les installations ferroviaires des cantons d'Eupen et Malmédy que les Allemands pourraient utiliser mais par contre il faut rétablir la liaison ferroviaire Bertrix-Carignan (29 septembre) ; incidence des difficultés budgétaires sur le programme de fortification (29 septembre, 6 octobre) et sur l'aviation militaire (13 octobre) ; création du corps des chasseurs ardennais (20 octobre) ; essais de moteurs Salm-son (22 octobre) ; la société des chemins de fer Guillaume-Luxembourg gagne son procès contre l'État luxembourgeois (24 octobre) ; matériels de D.C.A. ; formation du cabinet Broqueville ; l'ancien ministre de la Défense fait l'éloge de l'armée ; commentaires d'articles de Joffre et de Paléologue parus dans « La Revue des deux Mondes » (27 octobre) ; étude sur l'aviation italienne rédigée par un officier belge (3 novembre) ; nouvelles attaques flamingantes contre l'accord militaire franco-belge (3, 7 novembre) ; renseignements sur le lance-grenade du général Denis (8 novembre) ; analyse d'un ouvrage de Liddel Hart par le lieutenant-colonel Overstraeten (10 novembre) ; la « Gazette illustrée de Cologne » publie une édition spéciale : « La France en armes » (15 novembre) ; des économies sont réalisées grâce à la modernisation et à la centralisation des services de l'intendance (22, 29 Novembre) ; travaux de l'école de perfectionnement des officiers de réserve français (26 novembre) ; départ en retraite du général Galet (28 novembre) ; programme des travaux de fortifications de 1933 (1er décembre) ; élections législatives (6, 7, 10 décembre) et des Conseils provinciaux (8 décembre) ; Devèze redevient ministre de la Défense dans le nouveau cabinet Broqueville (20 décembre) ; un prêtre allemand est expulsé d'Eupen (28 décembre) ; un député hollandais interpelle son ministre des Affaires étrangères au sujet de l'accord franco-belge (29 décembre) ; incidents antimilitaristes à l'école flamande des cadets de Namur (29 décembre).
- 1933 : protestations allemandes après l'expulsion du vicaire d'Eupen (5 janvier, 3 février) ; Devèze va faire accélérer les travaux de fortification (5, 18, 30 janvier) ; des projets de loi visant à réprimer l'incitation à objection de conscience et les outrages au drapeau vont être déposés ; effectifs du contingent annuel (5 janvier) ; la Wallonie soutient les projets du ministre de la Défense (9 janvier, 18 août) ; importance du théâtre d'opérations de Belgique au moment de la bataille de la Marne (9 janvier) ; le général Galet continue à faire partie de la délégation à Genève (12 janvier, 2 mars, 8 mai) ; un comité technique des fortifications remplace l'ancienne commission des fortifications (10 janvier) ; les travaux du canal Albert, avec une brochure et un croquis (16 janvier, 24 août) ; vente d'armes à la République de San Salvador (16 janvier) ; la colombophilie (18 janvier) ; les approvisionnements en munitions de l'armée ne seront pas complets avant 1936 (31 janvier) ; certains journaux sont interdits dans les casernes en particulier « Le Peuple » qui publie des articles antimilitaristes (1, 9, 16 février) ; un journal allemand s'élève contre l'accord franco-belge (3 février) ; tenue de campagne de l'infanterie (8, 16 février) ; réorganisation du commandement de l'aéronautique militaire (13 février) ; programme des travaux de fortifications pour 1933 (14 février, 1er, 5 juillet) ; manœuvre de défense aérienne de Liège (16 février, 27 avril, 29 août, 7 septembre) ; le général Tasnier est nommé commandant de l'École de guerre (21 février) ; un article italien sur un éventuel conflit franco-allemand est l'occasion pour la « Libre Belgique » de rappeler le principe de neutralité du pays (23 février) ; opinions politiques du général von Hammerstein (27 février) ; accidents d'avions (1er, 23 mars, 1er mai, 8 juin) ; la France devrait reprendre des contacts pour faire aboutir le projet de liaison aérienne Belgique-Congo (2 mars) ; nouvelle organisation de la ligne de couverture dans les provinces de Liège et du Luxembourg, avec un croquis (2, 10, 23 mars, 5 avril) ; budget de la gendarmerie (4 mars) ; projets d'achats d'engins motorisés pour l'armée (9 mars, 23 mai, 25 juillet, 28 septembre, 16 octobre, 13 novembre, 7, 21, 29 décembre) ; mission militaire belge en Éthiopie ; ce pays passe une commande d'armes en Belgique (16 mars, 8 octobre) ; analyse du budget de 1933 (28 mars) ; des officiers de la 1re Région militaire effectuent des reconnaissances en Belgique (31 mars, 5 mai) ; réception des mitrailleuses Brow-ning (4 avril) ; analyse d'une étude belge sur la mobilisation (24 avril) ; l'objection de conscience en Belgique ; étude comparée des législations européennes sur cette question (25 avril, 18 août) ; essais de ventilation au fort de Barchon (2 mai) ; le ministre de la Défense se rend à Eupen et Malmédy ; recrutement sur le territoire des deux cantons (18 mai) ; organisation des centres fortifiés de Bas-togne et d'Arlon (18 mai, 8 octobre) ; les lignes de chemins de fer des cantons rédimés sont mises à voie unique, carte (22 mai, 31 octobre) ; la Chine commande des armes à Herstal (23, 31 mai, 20 septembre) ; création de forces supplétives de la gendarmerie (23 mai, 2 juin, 5, 11 juillet) ; possibilités de ventes de poudres en Belgique (23 mai) ; zones interdites de survol (26 mai) ; exploitation des chemins de fer en 1932, brochure (26 mai) ; approvisionnement en cuivre en cas de mobilisation (1er juin) ; renseignements sur la construction d'abris en béton à prise rapide par le génie belge (27 juin) ; les problèmes de la défense du Luxembourg belge sont soulevés à l'occasion du congrès des officiers de réserve à Arlon (28 juin) ; la Belgique désirerait obtenir de la France la cession de munitions de 47 ; Bofors va installer une succursale à Rotterdam (29 juin) ; le tome V des documents diplomatiques français contient des jugements défavorables et inopportuns sur l'actuel chef du gouvernement (12 juillet) ; plan d'un abri type pour mitrailleuse (18 juillet) ; analyse de l'ouvrage du major von Helders Comment Paris sera détruit en 1936 (19 juillet) ; l'état-major n'a pas les moyens d'assurer la défense des côtes (20, 24 juillet, 5 août, 5 septembre, 31 octobre) ; données statistiques sur les Belges mobilisables résidant en France (25 juillet) ; la police allemande aurait tenté de commander des avions de chasse en Angleterre (26 juillet) ; cérémonie militaire à Namur à la mémoire du lieutenant-général baron Michel (30 juillet) ; adjudication pour la construction d'abris dans le Luxembourg belge, croquis (17 août, 5, 16 septembre) ; condamnation de deux objecteurs de conscience (18 août, 7, 13 septembre) ; « Le Peuple » s'inquiète des menées hitlériennes contre lesquelles il préconise l'emploi de la force (18 août) ; budget du Congo et du Ruanda-Urundi en 1933 (23 août) ; des officiers français sont invités à des essais de matériels de D.C.A. (23 août, 20 septembre) ; les jeunes gens des cantons rédimés bénéficient de facilités pour trouver du travail en Allemagne ; manifestations pacifistes en Flandre occidentale (24 août) ; photographie d'une fabrique de poudre du Wurtemberg (28 août) ; montant et programme d'emploi des crédits extraordinaires obtenus par le ministre de la Défense pour 1934 (30 août, 6, 13 septembre, 5, 12, 26, 31 octobre, 6, 8 novembre, 7, 21 décembre) ; visite à Bruxelles de l'escadrille de sous-marins de Cherbourg (31 août) ; concurrence des lignes aériennes internationales en Afrique, article (7 septembre) ; le Luxembourg s'inquiète des travaux de fortifications belges et français (13, 14 septembre) ; le président du Sénat belge visite des ouvrages de la ligne Maginot (13, 28 septembre) ; jugement d'un américain sur Hitler (21 septembre) ; le régiment de chasseurs ardennais constituera le noyau d'une division à la mobilisation (28 septembre, 26 octobre) ; les commandes de matériels du ministère de la Défense seront réservées à l'industrie belge (5 octobre) ; activités de la Sabena (17 octobre) ; les importations allemandes de métaux non ferreux (5 novembre, 1er décembre) ; le Premier ministre affirme que le pays sera défendu sur la frontière même ; l'État-major fait étudier la défense de la frontière Nord (8 novembre) ; « Le Soir » publie une série d'articles sur les armements clandestins du Reich (9 Novembre, 19, 28 décembre) tandis que le sénateur de Dorlodot reproche au ministre des Affaires étrangères d'avoir affirmé en 1930 que l'Allemagne avait complètement rempli ses obligations de désarmement (14 novembre) ; le projet de budget extraordinaire pour 1934 (15, 16 novembre) est voté par le Sénat (13, 21 décembre) et la Chambre (29 décembre) ; armements du fort d'Eben-Emael (29 Novembre) ; renforcement de la surveillance de la frontière Est ; sous la pression du gouvernement les clubs automobiles allemands vont fusionner (30 novembre) ; entretien avec le Premier ministre et le vice-président du Sénat sur l'organisation défensive de la région de Liège et d'Arlon ; le général de Seilliers de Moranville réplique au livre du général Galet (14 décembre) ; instruction et avancement des officiers de réserve (20 décembre) ; la presse hollandaise et allemande commente le départ du général Chardigny (21, 29 décembre) ; les projets du ministre de la Défense (28 décembre) ; croquis du centre fortifié de Hombourg ; essais de poste d'écoute tchécoslovaque Harlas (29 décembre).
- 1934 : création d'unités cyclistes chargées d'assurer la couverture (5 janvier) ; prise de fonctions du nouvel attaché militaire (11 janvier) ; la marine française pourra faire effectuer des reconnaissances de la côte belge mais Bruxelles en avisera Londres (18 janvier, 15 février, 17, 24 avril), échanges de visites d'escadrilles belges et françaises (31 janvier) ; le ministre de la Défense se rend à Liège pour décider de l'emplacement d'ouvrages de la défense avancée ; il exprime sa confiance en la France (1er février) ; l'évolution des conceptions défensives belges depuis 1912 (6 février) et l'état des travaux de fortification (S.A.E., 1er février) ; l'auto mitrailleuse Wickers et le canon anti-char de 47 mm sont adoptés (8 février) ainsi que le poste d'écoute antiaérien tchécoslovaque Harlas (15 février, 1er mars) ; organisation de la défense aérienne des territoires belge et français ; sur demande française des liaisons téléphoniques sont assurées entre les dispositifs de guet et d'alerte aériens des deux pays (15, 26 février, 15 mars, 17 août, 25 octobre, 6, 29 décembre) ; composition en cas de mobilisation de la division de chasseurs ardennais (28 février, 8 novembre) ; population du pays depuis 1913 (28 mars) ; le ministre de la Défense envisage le ravitaillement de l'armée par les puissances alliées au cours d'un conflit (29 mars) ; des essais de tirs contre avions auront lieu en présence de techniciens français (29 mars, 17 avril) ; choix définitif du tracé et travaux du canal Albert (9 avril, 17 octobre) ; reconnaissances d'officiers français en Belgique (24 avril, 11 mai, 13 juin, 5 septembre, 7 novembre) ; les batteries antichars sont rattachées au corps des chars (25 avril) ; désaccord entre le ministre et le chef d'état-major au sujet de la réalisation du programme de défense (25 avril, 17 mai, 13 juin, 6 septembre, 5, 9 octobre) ; liste des titulaires des hauts commandements de l'armée (2 mai) ; visite du Fort d'Eben-Emael et d'une partie des lignes de défense de Liège (17 mai) ; un politicien italien estime inutile que la Belgique possède une armée forte, article (24 mai) ; le colonel Raquez est nommé attaché militaire à Paris (28 mai) ; organisation défensive du Luxembourg belge, croquis (6 juin) ; moyens de répression des troubles utilisés par la gendarmerie (19 juin, 5 juillet) ; un journal flamingant réplique à l'article du général Duval « Sommes-nous défendus ? » (21 juin) ; listes des commandes de matériels passées en France par le ministère de la Défense en 1934 (20 juin) ; étude sur l'aéronautique civile et militaire, 18 p., croquis (5 juillet) ; l'exploitation des chemins de fer en 1933 (18 juillet) ; texte et analyse du statut des sous-officiers de carrière (2 août) ; une loi complète la législation réprimant la propagande antimilitariste (8 août) ; numéro du journal satirique « Pourquoi pas ? » contenant un article sur le général Nuyten (8 août) ; programme d'augmentation de l'artillerie (9 août) ; école à feu de D.C.A. (28 août) ; effectifs des officiers (29 août) ; dossier, carte et croquis des manœuvres du 1er C.A. (29 août) ; le général Nuyten se déclare disposé à examiner avec le chef d'état-major français les conditions d'intervention éventuelle des armées françaises en Belgique (24 septembre) ; le roi remet les drapeaux aux bataillons de chasseurs ardennais et souligne l'importance de leur mission (25 septembre) ; les compressions budgétaires de 1935 n'affecteront pas la solidité de l'armée (4, 10 octobre) ; le conflit Devèze-Nuyten aboutit à l'éviction de ce dernier (11, 16 octobre) ; Devèze s'explique dans la presse sur sa politique de défense (25 octobre) ; carrière du lieutenant-général Cumont nouveau chef d'état-major général (26 octobre) ; le roi et le ministre réaffirment leur volonté de poursuivre la réalisation du programme de défense (29 octobre) ; création d'un poste de 2e sous-chef d'état-major général (8, 15 novembre) ; note sur un voyage à Paris du général Cumont (15 novembre) ; les exportations de métaux non ferreux à destination de l'Allemagne se sont très fortement accrues en 1934 (attaché commercial, 27 novembre) ; l'armée britannique va échanger des officiers stagiaires avec la Reichswehr (6 décembre) ; nouvel exposé de Devèze sur les principes de la défense, texte (11 décembre) ; la firme Krupp aurait tenté d'acquérir le journal la « Nation belge » (13 décembre) ; organisation défensive de la frontière Nord, avec 3 croquis (17 décembre) ; enseignements d'un exercice de défense passive à Bruxelles (24 décembre) ; faiblesse de la flotte commerciale (27 décembre et 18 mars 1935). 1935 : essais de liaisons téléphoniques entre les dispositifs de guet aérien belges et français (8 janvier, 25 avril, 16, 22 mai) ; croquis du déploiement de l'armée en cas de mobilisation (8, 31 janvier) ; modalités de rappel des miliciens ; réduction du traitement des soldats engagés (8 janvier) ; répartition des unités antichars (15 janvier) ; le général Cumont estime que les Allemands n'hésiteront pas à traverser la Hollande pour attaquer la Belgique (16, 31 janvier) ; modifiant son plan de concentration il demande au cours d'un entretien avec le général Loizeau que l'armée française renforce l'armée belge dans sa résistance à l'Ouest de la Meuse (31 janvier, 26 février, 1er mars) ; budgets de la défense, de la gendarmerie, de l'aéronautique (6, 11 février, 17 avril) ; la mitraillette Schmeisser-Bayard est adoptée par l'armée (14 février) ; budget du Congo et du Ruanda (13 février) ; motorisation de la cavalerie (21 février, 28 mars) ; réduction du temps de service des candidats gradés de réserve (1er mars) ; expériences de tir contre avions ; Devèze conserve la Défense dans le nouveau cabinet (28 mars) ; la dévaluation du franc belge n'aura pas d'incidence sur le budget militaire (3 avril, 22 octobre) ; Devèze tente de faire prolonger la durée du service militaire (16, 23 mai) ce qui entraîne des protestations socialistes et flamandes (6 juin, 10 juillet) ; conditions dans lesquelles la France pourrait en cas de conflit ravitailler la Belgique en matériel aéronautique (16 mai) ; les usines Krupp fabriquent des voitures tous terrains (23 mai) ; reconnaissances d'officiers français en Belgique (18 juin) ; projet de réorganisation de la D.A.T. (20 juin) ; création d'un Centre des hautes études militaires (10 juillet) ; établissement d'une liaison entre les services météorologiques belges et français ; dossier des manœuvres du corps de cavalerie (11 juillet), des parlementaires visitent les fortifications de l'Est du pays (16 juillet) ; une démarche belge auprès du Luxembourg en vue d'établir la carte de ce pays reste sans réponse (7 août) ; le général Van den Bergen est nommé chef d'état-major général (19, 22 août, 12 septembre) ; dispositifs de défense du secteur attribué aux chasseurs arden-nais (22 août) ; instruction sur l'emploi du canon de 47 antichar (29 août) ; état des travaux de fortifications (31 août) ; la vente et la diffusion de certains journaux sont interdits dans les casernes (12 septembre) ; Devèze dément la nouvelle de sa démission (26 septembre) ; il estime nécessaire qu'un contact discret soit maintenu avec l'état-major français (3 octobre) ; le repli éventuel d'usines et de la batellerie belges en France (10, 19 octobre) ; les préparatifs de guerre allemands (10 octobre) ; budget militaire de 1936 (22 octobre, 18, 19 décembre) ; instruction des officiers de réserve français en Belgique (5 novembre) ; travaux des canaux de Bois-le-Duc et Albert (6 novembre) ; tracé de la tête de pont du Gand, carte (20 novembre) ; un attaché militaire belge est nommé à La Haye (5, 19 décembre) ; note sur les voiturettes de transport de munitions de l'infanterie (20 décembre).
- 1936 : recrudescence des attaques contre l'accord franco-belge (7 janvier, 6 février, 26 août) ; instruction des candidats gradés de réserve (11 janvier) ; répartition linguistique de la classe 1937 (15 janvier) ; le projet de réorganisation de l'armée visant à mettre la Belgique à l'abri d'une attaque brusquée est présenté au conseil des ministres (16, 20 janvier, 1er, 6 février) ; modalités de mobilisation des Belges travaillant en France (24 janvier) ; l'état-major s'intéresse aux obstacles antichars français (27 janvier, 29 juillet) ; analyse et texte du projet de loi gouvernementale sur la prolongation du service militaire (13, 27 février) ; ce projet est attaqué violemment par la presse flamande et le parti socialiste (20, 27 février ; ces attaques surprennent l'attaché naval américain (20 février) ; examen du projet à la Chambre (5 mars) ; mesures prises par l'état-major au moment de l'occupation de la Rhénanie ; le gouvernement sera réticent à l'égard des mesures susceptibles de gêner le commerce belge (9, 10 mars) ; la réorganisation de l'armée est examinée par le chef d'état-major et le ministre à la lumière de la nouvelle situation (12, 18, 25 mars) ; état d'esprit et valeur de l'armée (13, 19 mars) ; les ressortissants allemands de Gand auraient reçu l'ordre de se tenir prêts à regagner l'Allemagne (25 mars) ; les milieux militaires envisagent avec satisfaction les futurs contacts d'état-majors anglo-franco-belges (26 mars) ; renseignements et croquis sur le chargement permanent des dispositifs de destruction (31 mars, 14 avril, 11 juillet) ; une partie du projet de loi militaire est votée cependant qu'est instituée une commission mixte chargée d'étudier le nouveau statut de l'armée (1er, 9, 27 avril) ; état des travaux des canaux, croquis (2 avril, 26 août, 9, 30 septembre) ; revue de la garnison de Bruxelles (9 avril) ; le prochain voyage du chef d'état-major général à Paris (30 avril) ; une partie de la classe 1935 est maintenue sous les drapeaux pour assurer la couverture de la frontière (5 mai, 3 juin, 15, 27 juillet, 27 août) ; l'influence respective des Flamands et des Wallons dans les domaines politique, militaire et culturel (8 p., 12 mai) ; l'organisation défensive du pays, 15 p. avec une carte renseignée et trois croquis (19 mai) ; points faibles de l'aviation (attaché de l'Air, 19 p., 27 mars, 29 juillet) ; Devèze est remplacé par le lieutenant-général Denis (28 mai, 15 juin) ; les généraux Galet et Nuyten critiquent devant la commission mixte les travaux de défense du ministère Devèze (11, 15 juin) ; celui-ci rappelle que ce système de défense avait été approuvé par le roi Albert (18 juin) ; Van Zeeland poursuivra la politique militaire de son prédécesseur (27 juin) ; auditions de lieutenant-généraux par la Commission mixte (1er, 11 juillet) ; thème des manœuvres du corps de cavalerie, auxquelles assiste l'attaché militaire allemand (12 juillet) ; d'après l'état-major belge des travaux de fortifications vont être entrepris en Rhénanie (29 juillet) ; intervention antifrançaise du député flamingant Marck devant la Commission mixte ; incident parmi les rappelés au camp de Beverloo (30 juillet) ; plan de travail (10 août), activités et résolutions de la Commission mixte (13, 27 août, 3, 10 septembre) ; liste des commandes de matériels de guerre passées en France en 1936 (20 août) ; un fusil mitrailleur Browning a été livré à l'Allemagne par un soldat belge ; mesures prises pour rajeunir les cadres subalternes de l'armée ; Devèze devient membre de la Commission mixte (26 août) ; une mission doit venir à Bruxelles examiner l'engagement éventuel des forces aériennes françaises en Belgique (10 septembre) ; le chef d'état-major général est satisfait des résultats obtenus par la Commission mixte (15 septembre) ; « La Belgique n'entend pas renoncer à l'amitié française », article (3 octobre) ; le roi expose la politique de défense : celle-ci doit être intégralement belge (15 octobre) ; la coopération industrielle franco-belge en cas de conflit (15 octobre, S.A.E. 9 octobre) ; l'ambassadeur de Belgique à Paris et le général Crouquet commentent le récent discours du roi (20 octobre, 7 novembre) ; texte du prochain budget de la Défense (20 octobre) ; l'aéronautique marque sa préférence pour les matériels anglais ; liaisons déficientes entre l'état-major et l'aéronautique militaire ; faiblesse de l'infrastructure aéronautique (attaché de l'Air, 23 p., 21 octobre) ; l'état-major, sur ordre du roi, étudierait un repli des dépôts de munitions vers le réduit national et un renforcement des troupes à la frontière (29 octobre) ; la Chambre adopte le projet militaire à l'exception de la loi sur la durée du service (29 octobre, 5 novembre) ; articles du lieutenant-colonel Requette sur la position militaire et les accords, défensifs de la Belgique et la défense du Luxembourg belge (5, 12, 19 Novembre) ; Van Zeeland cherche à définir la portée réelle du discours du roi devant l'attaché naval américain (18 novembre) ; discussion et vote du projet modifié de prolongation de la durée du service (18, 21 novembre, 3, 9, 10 décembre) ; renseignements sur les pour-parlers Ciano-von Neurath au sujet de l'Espagne (19 Novembre) ; nouvelle répartition des unités de chasseurs ardennais (26 novembre) ; activités et contacts de l'attaché de l'Air (8 décembre) ; commentaires et extraits du discours de Van Zeeland : la Belgique « se réserve le choix de l'heure à laquelle elle fera appel » à la France (10 décembre) ; analyse du projet de loi réglant le régime linguistique de l'armée (17 décembre) ; tableau d'implantation des troupes en temps de paix (23 décembre) ; effectifs de la gendarmerie et du contingent de 1937 (29 décembre). 1937 : le parti militaire du Palais cherche à rendre la politique militaire du pays indépendante de celles de l'Angleterre et de la France ; un poste d'attaché militaire à Berne est créé (7 janvier) ; quatre officiers généraux belges déclinent une invitation au banquet des officiers de réserve français (19 janvier) ; temps de commandement des officiers (14 janvier) ; répartition linguistique de la classe 1937 (15 janvier) ; tendances flamandes du parti militaire du Palais ; la propagande en faveur de l'aviation française dans la presse belge (21 janvier) ; augmentation des forces de la gendarmerie (23 janvier) ; armements d'appui de l'infanterie (8 février) ; l'évolution de la politique de la Belgique en 1936 vers une indépendance absolue est due à la nouvelle situation internationale, à l'influence grandissante des Flamands et des généraux Galet et Nuyten qui l'a emporté sur celle de Devèze devant la Commission mixte (11 février et ambassadeur de France 30 janvier ; 37 p.) ; coopération industrielle éventuelle franco-belge en cas de conflit (12 février) ; commentaire du dernier discours de Hitler (16 février) ; l'état-major belge refuse de fournir à l'attaché de l'Air français certains renseignements nécessaires à une collaboration aéronautique (18, 19 février) ; « la Nation belge » publie une série d'articles sur l'armée française, textes (4, 10 mars) ; Spaak, ministre des Affaires étrangères, affirme que la Belgique sauta s'opposer à toute violation de son territoire (4 mars) ; budget militaire extraordinaire de 1937 (23 mars) ; le recrutement de volontaires par l'armée ne donne pas les résultats escomptés (23 mars, 21 avril) ; essais d'une voiture blindée d'origine allemande (24 mars, 18 mai) ; une Commission mixte est chargée d'étudier les problèmes aéronautiques (5 avril) ; le service de la D.A.T. recrute des volontaires (7 avril) ; entretien avec le général Van den Bergen sur les conversations de Londres ; « La Nation belge » affirme que l'Allemagne est le seul agresseur éventuel (15 avril) ; instruction des officiers de réserve français en Belgique (22 avril, 5, 30 juin) ; il faut livrer à l'armée belge dans les délais prévus les 25 automitrailleuses Renault qu'elle a commandées en 1935 (26 avril, 13 mai, 17 juin) ; la nouvelle neutralité belge est reconnue par la France et l'Angleterre ; essais d'armes de D.C.A. et antichars (26 avril) ; un projet de loi prévoit l'augmentation des effectifs des officiers (texte) ; doublement de la voie ferrée Remagen-Adenau (29 avril) ; organigramme des régiments motocyclistes (1er mai) ; la période des contacts d'état-major, à réaliser par l'intermédiaire des attachés militaires, succède à celle des accords (4, 13 mai) ; régime linguistique de l'armée (20 mai, 3 novembre) ; situation précaire de l'aviation (20 mai, attaché de l'Air 12 mai) ; manœuvres du 2e C.A. (25 mai) ; au cours des conversations franco-belges des 20 et 21 mai, Van Zeeland confirme les déclarations de Spaak sur les contacts d'état-major (26 mai) ; travaux de fortification (27 mai) ; dépenses des personnels du poste (3 juin) ; réorganisation du cabinet du ministre de la Défense ; règles d'avancement des officiers (9 juin) ; un sénateur critique les commandes d'avions anglais (16 juin) ; la Hollande perd le procès intenté à la Belgique au sujet du canal Albert (30 juin) ; relève de l'attaché militaire (30 juin, 15, 21 juillet) ; la fonderie royale de canons de Liège ne sera pas déplacée en pays flamand (2 juillet) ; inauguration du mémorial interallié de Liège (21 juillet) ; la notion de défense à la frontière est abandonnée au profit de missions de destructions annonce le général Van den Bergen à l'attaché militaire, calque (18 août) ; début de mutinerie dans une caserne des environs d'Anvers (25 août) ; les Flamands politisent des cérémonies commémoratives de la guerre (31 août) ; manœuvres dans le Luxembourg belge (1er septembre) ; flamandisation de l'armée (1er septembre ; 1er, 9 décembre) ; le général Duvivier visite l'aviation allemande (2, 21 septembre) ; voyage sur la frontière et exposé du plan de défense sur la Meuse et le canal Albert (14, 21 septembre) ; détails techniques sur des forts belges (27 septembre, 20 octobre) ; sources d'informations de l'attaché militaire (27 septembre) ; désignation des attachés de l'Air belge et français (21, 30 septembre) ; relève de l'attaché militaire allemand (7 octobre) ; manœuvres dans la région de Liège et de Namur (11, 12 octobre, 8, 9 Novembre) ; le système de défense n'est en rien changé après la déclaration par laquelle l'Allemagne s'engage à respecter l'intégrité du territoire belge (13 octobre et Affaires étrangères 21 octobre) ; fortifications allemandes à la frontière du Grand duché (14 octobre) ; constitution et manœuvres de la 8e division de réserve (19 octobre) ; le chargement permanent des dispositifs de destruction, étude de l'état-major belge (15 p., 20 octobre) ; le souvenir des atrocités allemandes reste vivace (27 octobre) ; déclarations de Spaak sur l'indépendance de la politique belge et l'application éventuelle de l'article 16 du pacte de la S.D.N. (28 octobre, 3 novembre) ; le Palais aurait ordonné d'entreprendre l'étude de la défense du réduit Gand-Anvers pour satisfaire l'Allemagne et une partie de l'opinion belge (3 novembre, 8 décembre) ; budget militaire de 1938 (8, 30 novembre) ; caractéristiques des postes de T.S.F. militaires (15 novembre) ; positions fortifiées de Namur, Liège et Anvers, croquis (15, 25 novembre, 1er décembre) ; avenir poli-tique de l'ancien ministre Devèze (18 novembre) ; le général Denis reste ministre de la Défense dans le gouvernement Janson (18, 25 novembre) ; la défense du Luxembourg belge, article (29 Novembre, 8 décembre) ; vote du budget militaire français (9 décembre) ; visite de l'école militaire (13 décembre) ; d'après le général Van den Bergen les divisions cuirassées allemandes peuvent atteindre la frontière en quelques heures ; campagne de presse en faveur de la défense antiaérienne (16 décembre) ; le chef d'état-major général souhaite éviter toute indiscrétion sur ses conversations avec l'attaché militaire à qui il manifeste sa confiance dans l'armée française (16, 23 décembre) ; les visées allemandes sur le Congo inquiètent Bruxelles (13, 23 décembre) ; force publique du Congo (16 décembre) ; le colonel Van Overstraeten est le grand maître de l'armée ; note sur le réduit national, croquis (29 décembre).
- 1938 : résumés des rapports (passim) ; les camps d'instruction militaire sont trop proches de la frontière allemande (6 janvier) ; des officiers belges assistent au banquet annuel des officiers de réserve français en Belgique (9 janvier) ; portée des canons de la position fortifiée de Liège, croquis (11 janvier) ; activités de recherche de renseignements de l'attaché militaire italien (11 janvier, 31 mai, 27 septembre, 11 novembre) ; croquis d'une position défensive à créer à la mobilisation entre Anvers et Namur ; un plan d'opérations allemand à travers la Hollande, d'après « Le Métropole » d'Anvers (19 janvier) ; jugements sur la Chine et l'Allemagne du secrétaire de l'ambassade du Japon (22 janvier, 28 juillet) ; emploi des mines antichars ; un officier de l'armée de l'Air française est affecté au poste (27 janvier) ; 500 millions de francs sont destinés à la D.A.T. (2, 10 février, 2 juin) ; les Allemands voudraient empêcher les destructions belges de jouer (2 février) ; influence du mouvement rexiste sur les sous-officiers ; valeur défensive de la ligne d'eau Anvers-Charleroi (8 février) ; renseignements sur les canons allemands de 240 mm (14 février) ; projets d'inondations dans le Hainaut en cas de conflit (22 février, 3, 10 mars) ; rivalité entre les généraux Jamotte et Van den Bergen (24 février, 24 mars) ; des contacts d'état-major avec les pays amis sont indispensables affirme un député, « l'ère des accords militaires est close » répond le ministre (3, 17 mars) ; travaux de fortification en cours (10 mars) ; une victoire française lors d'un match militaire de foot-ball France-Belgique est mal accueillie (14 mars) ; projet de travaux d'organisation du réduit Ostende-Bruges ; l'opinion s'inquiète des événements d'Autriche mais « espère bien rester à l'écart du conflit qui s'annonce » ; le chef d'état-major estime nécessaire l'appui français ainsi que le secret de ses conversations à ce sujet avec l'attaché militaire (17 mars) ; le colonel Delvoie est nommé attaché militaire à Paris (17, 21 mars) ; des manœuvres « symboliques » se déroulent face à la France (24, 31 mars, 14 avril, 16 juin) ; tout est fait pour éviter le moindre incident avec l'Allemagne au sujet du canton d'Eupen (24, 31 mars, 7 avril) ; « Qualités et déboires de l'armée allemande », article de « La Nation belge » (28 mars) ; le colonel Van Overstraeten est nommé général-major (31 mars, 11 avril) ; d'après l'attaché militaire allemand, le Reich n'a aucune intention belliqueuse à l'Ouest ou contre la Tchécoslovaquie (23, 31 mars) ; le chef d'état-major général veut assurer la défense de Liège et de Namur contre une attaque de chars amphibies (7 avril, 24 novembre, 24 décembre) ; les catholiques essaient de réconcilier Flamands et Wallons sur un terrain anti-français (14 avril) ; l'avenir militaire et politique du pays est menacé par la scission et le séparatisme entre Flamands et Wallons (20, 28 avril, 5 mai) ; un impôt sur l'exemption du service militaire est en préparation (23 avril, 29 décembre) ; le générai Hennequin est nommé chef de la force militaire du Congo (5 mai) ; considérations de l'écrivain militaire Requette sur la guerre future (12, 19 mai, 8 décembre) ; le nouveau gouvernement Spaak se propose de liquider la pénible question linguistique ; campagne flamingante contre la menace militaire française (19 mai) ; fortifications allemandes à la frontière belgo-luxembourgeoise (19 mai, 28 juillet, 8 septembre) ; prises de position de la presse sur la question des contacts d'état-major (25 mai) ; importance militaire de la frontière linguistique en cas de conflit franco-allemand (9 juin, 1er décembre) ; pertes belges durant la Grande guerre (16 juin) ; cérémonies et manifestations à caractère francophile (23 juin, 7, 13, 20 juillet) dont la fréquence s'accroît après les événements de septembre (passim) ; la loi sur l'emploi des langues dans l'armée pénalise les Wallons (7 juillet, 11 août) ; le lieutenant-colonel Requette s'efforce dans un article, de justifier la politique étrangère choisie par le roi (cependant que le journal satirique « Pourquoi pas ? » attaque le général Van Overstraeten, texte (13 juillet, 22 décembre) ; concours international militaire motocycliste de Spa ; d'après « Le Métropole » d'Anvers la doctrine de guerre française domine dans l'état-major de Franco (20 juillet) ; fête nationale et inauguration du monument du roi Albert à l'Yser (28 juillet) ; les grandes manœuvres de Spa, en terrain libre, se déroulant face à la France font l'objet d'interprétations politiques et sont l'occasion pour le roi d'un succès de prestige à Eupen et Malmédy (4, 11, 25 août) ; le ministre de la Défense, sous la pression flamingante, promet des fortifications face au Sud mais le chef d'état-major rassure l'attaché militaire (4, 13, 25 août) ; la réalisation de ces fortifications compromettrait l'achèvement des défenses de l'Est (1er septembre, 20 octobre, 10, 24 novembre) elle se limitera en fait à quelques fortins (15, 22 décembre) ; organisation du centre de hautes études militaires (13 août) ; défectuosités des installations électriques des forts (10, 13, 15,29 septembre) ; mesures militaires prises au moment de la crise des Sudètes (13, 25, 27, 28, 30 septembre, 2 décembre) ; dispositifs de défense, de concentration et de couverture de l'armée, croquis ; propositions d'organisation d'un guet aérien franco-britannique en Belgique (22 septembre) ; opinion de l'attaché militaire britannique sur la situation internationale (25 septembre) ; la question du survol éventuel du pays par des avions belligérants (27 septembre) ; le ravitaillement en munitions de l'artillerie dépend de la France ; la proposition belgo-hollandaise d'occuper temporairement le territoire des Sudètes (28 septembre) ; les précautions militaires prises sur la frontière Sud indignent les populations wallonnes (28 septembre, 6 octobre) qui se sentent sacrifiées dans le plan de défense (14 novembre) ; état des travaux du canal Albert (29 septembre) ; préparation du voyage du roi en France (4, 5 octobre) ; Léopold III chef militaire (6 octobre) ; la mise sur pied de paix renforcée de l'armée a montré que la mobilisation n'était pas au point (6 octobre, 8 décembre) ; la légation d'Allemagne est élevée au rang d'ambassade ; élections municipales (20 octobre) ; répartition linguistique de la classe 1939 (3 novembre) ; les précautions militaires prises face au Sud en septembre ont été décidées en dehors du chef d'état-major général (24 novembre, 2 décembre) ; défense du Congo (1er décembre) ; budget de la Défense de 1939 (8, 29 décembre) ; problèmes de D.A.T. (13, 15 décembre) ; les milieux libéraux bruxellois regrettent la rupture des accords d'État-major (22 décembre). Courrier Air : les Italiens proposent à la Sabena de faire passer la ligne du Congo par la Libye (16 février, 30 mars) ; expositions aéronautiques (22 février) ; énumération des missions incombant à l'aviation française sur le territoire belge (23 février) ; faiblesse de la propagande aéronautique française en Belgique (s.d.) ; résumé d'une conférence sur la D.A.T. (15 mars) ; accidents aériens (21 mars, 6 avril) ; des industriels belges proposent de construire des avions français au profit de la France (24 mars) ; meeting aérien d'Arlon (31 mars, 11 avril, 3, 10 mai) ; crise du haut commandement de l'aviation militaire (9 avril, 3, 19 mai) ; une souscription nationale est destinée à l'achat d'avions de chasse (24 juin) ; desserte du Congo belge (20 décembre) ; situation de l'aviation militaire (19 décembre). 1939 : le canal Albert est sous eau sans solution de continuité (27 avril) ; jugement du ministre de la Défense sur l'armée hollandaise (1er juin, 16 décembre) ; commandes de tracteurs Latil (7 septembre) ; enseignements de la campagne de Pologne (13, 14, 15 septembre) ; portrait de Léopold III, chef direct de l'armée (24 septembre) ; copie de trois rapports de l'attaché naval américain : expectative de l'Italie, situation et stratégie en Europe (3, 4, 14 octobre) ; lacunes de la défense de la bretelle Anvers-Namur entre Wavre et Rhisnes (25 octobre, 20 novembre, 16 décembre) ; projet d'évacuation des populations, avec une carte (2, 3, 11, 17 décembre). 1940 : texte d'une étude américaine sur les relations suédo-finlandaises (17 janvier) ; le haut commandement est hostile aux évacuations de populations (23 janvier) ; des volontaires belges pour la Finlande transitent par la France (1, 15 février) ; la presse commente la conférence de Belgrade (5 février) ; le problème de l'évacuation des populations commence à inquiéter l'opinion (17 février) ; le général Van Overstraeten souligne l'intérêt, en cas d'intervention française, que « Bruxelles reste en secteur belge » (17, 20 février) ; défense sur la rive droite de la Meuse, organisation de la tête de pont de Huy (21 février) ; organisation territoriale en temps de guerre (9 mars) ; en cas d'attaque en Hollande la Belgique faciliterait l'aide des Alliés (9 mars) ; ponts sur l'Escaut en aval de Termonde (13 mars) ; défense des canaux-frontières (31 mars) stationnement des éléments belges repliés en France (22 mai) ; intentions du ministre de la Défense (Poitiers, 31 mai) ; effectifs des troupes belges en France (4 juin) ; situation du pays (18 juillet 1940). Télégrammes de l'attaché militaire (septembre 1939-juin 1940).
- Télégrammes du ministère des Affaires étrangères et du ministre de France à Bruxelles : le problème de la révision du traité de 1839 et les questions qui s'y rattachent ; participation belge à l'occupation de la rive droite du Rhin ; négociations militaires avec la France ; relations avec le Luxembourg ; politique intérieure belge.
- [Dossier 1] Correspondance diplomatique en provenance du Quai d'Orsay et des représentants de la France en Belgique : opinions du général de Witte sur la défense du pays (12 décembre 1919) ; développement du marché de la laine à Anvers (30janvier 1920) ; augmentation du prix du pain (25 février) ; commerce extérieur en 1919 (27 février) ; d'après Jaspar, le pacte anglo-belge contient l'assurance du soutien de la Grande-Bretagne « contre toute agression » non provoquée (19 janvier 1922) ; projets d'électrification des cantons de Malmédy et de Saint-With (15, 28 avril 1925) ; déficit en cadres et gradés volontaires de l'armée (13 août) ; exigences des financiers américains à l'égard de la Belgique (21 février, 8 mars 1926) ; possibilités de défense militaire des cantons d'Eupen et Malmédy (8 septembre) ; on préparerait à Bruxelles, d'après un journal anver-sois, la dénonciation de l'accord franco-belge de 1920 (27 mars 1929) ; incidents flamingants à l'université et à la cathédrale de Gand (12, 22 décembre 1930) ; la non-communication à la S.D.N. de l'accord franco-belge entretient un malaise en Europe (6 janvier 1931) ; les Wallons sont mécontents de ce que la ligne de défense de leur province ne soit pas fixée sur la frontière ; opinions de personnalités et de la presse sur la limitation des armements (passim) ; composition de la délégation à Genève (14 janvier 1932) ; la défense des frontières de l'Est préoccupe l'opinion et les responsables politiques wallons (passim avril-décembre) ; « La Flandre libérale » publie un article sur la défense de la frontière hollandaise (27 octobre) ; la presse flamande s'inquiète du coût des travaux de défense de la frontière de l'Est (6 février 1933) ; analyse et commentaire d'une pièce de théâtre allemande sur la bataille de la Marne (15 février) ; « militairement la France ne peut se passer de la Belgique et économiquement la Belgique peut se passer de moins en moins facilement de la France » (1er juillet ; 21 août) ; la ligne de défense des Ardennes et de la Meuse est la seule admissible (18 juillet) ; l'opposition entre le ministre Devèze, partisan de la défense à la frontière, et le général Galet, partisan du réduit national (10 août 1933, 23, 24 janvier 1934) ; tableau de la situation économique, politique et militaire du pays à l'avènement de Léopold III (12 mars) ; activités des S.R. étrangers sur le littoral (1er juin) ; des détenus de camps de concentration allemands exécuteraient des travaux de défense à la frontière hollandaise (7 mars 1935) ; les travaux de fortifications à l'Est n'avancent qu'au ralenti (8 mars) ; Devèze souhaite le maintien de la liaison entre les états-majors français et belge mais désire qu'elle soit discrète (3, 23 octobre) ; congrès des démocrates chrétiens à Liège (26 novembre) ; les relations militaires avec la Hollande pourraient s'améliorer (5 décembre 1935, 27, 30 janvier 1936) ; réaffirmation réciproque de l'accord militaire franco-belge de 1920 (6 mars) ; l'ambassadeur anglais à Bruxelles souhaite des contacts d'état-major anglo-franco-belges (25 mars) ; installation de la commission mixte chargée d'examiner le problème de la défense (23 avril) ; le commerce avec la France laisse un solde bénéficiaire bien qu'une campagne de presse cherche à démontrer le contraire (7 mai) ; l'espionnage allemand en Belgique est actif (12 mai) ; résultats des élections (28 mai) ; opinions sur la défense ; nécessité de contacts d'état-major franco-belges (20 mai, 25 juin, 29 octobre, 9 Novembre) ; le lieutenant-général Denis (17 juin) ; Paris estime que « l'abandon d'une organisation défensive de l'ensemble du territoire belge serait contraire aux engagements existants » (5 novembre) ; Paris répond à l'engagement pris par le gouvernement belge de limiter sa contribution au maintien de la paix en Europe (24 décembre 1936) ; l'orientation de la politique étrangère et militaire en 1936 d'après l'analyse des débats de la commission mixte (32 p., 30 janvier 1937) ; la question des contacts d'état-major continue à préoccuper la presse (13 mai) mais est éludée par Spaak au Parlement (24 mars 1938) ; Spaak se préoccupe de l'attitude de la Belgique en cas d'attaque en Hollande et craint que la reprise des contacts d'état-major avec la France et l'Angleterre ne fournisse à l'Allemagne un prétexte (26 octobre 1939) ; impressions d'un journaliste américain de retour d'Allemagne (13 mars 1940) ; télégrammes (1925-1927) ; [d. 2] Luxembourg : études de l'E.M.A. et lettres du ministre de France sur la question du Luxembourg (1920), sa situation juridique (25 août 1932) ; le Grand duché désarmé, s'en tient à son statut international (30 mars 1934) et « ne fera rien pour entraver la ruée de l'envahisseur » (28 février 1936) mais souhaite être englobé dans la promesse d'Eden de défendre la France et la Belgique (18 décembre) ; fortifications allemandes à la frontière du Grand duché (26 novembre, 13 décembre 1937) ; « la neutralité du Luxembourg présente plus d'inconvénients que d'avantages » (E.M.A., 5 avril 1939) ; projet d'évacuation de la légation de France (1er janvier 1940) ; [d. 3] l'utilisation éventuelle des chemins de fer luxembourgeois par les armées françaises : notes, études, négociations et tractations (E.M.A., Affaires étrangères, 1920-1929, 1933) ; [d. 4] bulletins périodiques de la presse belge (Affaires étrangères, série incomplète, 1919-1939) ; [d.5] notes de l'E.M.A. (principalement du 2e Bureau), du général Gamelin et de l'état-major belge concernant les relations et la coopération militaire franco-belge : rapport sur les négociations des 10 et 11 juin 1920 entre le général Maglinse et le maréchal Foch ; Londres ne participera pas aux conversations franco-belges (9 juillet) ; copie de l'accord militaire défensif du 7 septembre 1920 ; procès verbal de la conférence du 8 décembre 1923 entre les généraux Maglinse et Buat, avec un croquis ; l'état-major anglais estime que la Hollande sera impliquée dans le prochain conflit (23 janvier 1925) ; la concentration de l'emploi de deux armées françaises en Belgique sont étudiés par le général Bineau à Bruxelles et des officiers de l'état-major belge à Paris (octobre 1926-décembre 1927) ; l'évacuation de la Rhénanie nécessite un ajustement des dispositions de l'accord (projet de lettre de Gamelin à Galet, étude du 4e Bureau, mars 1931) ; la Belgique et le problème de la limitation des armements (20 novembre) ; conditions d'appui de l'armée belge par l'armée française (Gamelin, 7 juin 1932) ; clauses de l'accord militaire de 1920 restant encore en vigueur [1933] ; Devèze fait savoir à Game-lin qu'il ne voit que des avantages à la réalisation de fortifications au Nord de la France (25 novembre 1933) ; le Quai d'Orsay doit exploiter les dispositions favorables des Belges pour leur signaler l'intérêt d'appeler l'armée française en temps utile (28, 29 décembre) ; points de la coopération militaire éventuelle à examiner lors de la prochaine visite du chef d'état-major général belge à Paris : possibilités et délais d'intervention, liaisons de renseignements, terrains d'aviation belges (novembre-décembre 1934) ; organisation défensive du Luxembourg belge (1934-1935) ; conférence franco-belge du 5 avril 1935 à Paris (procès-verbal, études et notes, mars-avril) ; compte rendu de mission du chef du 2e bureau auprès de l'état-major belge (4 juillet) ; questions à étudier lors de la visite du général Van den Bergen à Paris : zone démilitarisée, dispositif de couverture belge, liaisons entre les sections de renseignement (octobre-décembre) ; un éventuel rapprochement hollando-belge peut être le début d'une nouvelle politique éloignant la Belgique de la France (16 janvier 1936) ; valeur respective de l'accord militaire de 1920 et du pacte de Locarno (10, 21 janvier 1936) ; Paris souhaite « le maintien d'un contact entre états-majors » (ambassadeur de France et premier ministre belge, 6 mars) ; certains dispositifs de destruction belges sont chargés en permanence (10 avril) ; répercussion en Belgique des conférences d'état-major de Londres (18 avril) ; analyse d'une conférence de Henri Jaspar sur la politique extérieure belge (28 avril) ; procès-verbal des conversations militaires franco-belges du 15 mai 1936 contenant les réponses du général Van den Bergen aux questions posées par l'état-major français à la fin de 1935 ; plan des destructions prévues dans la zone d'intervention éventuelle des troupes françaises (mai) ; compte rendu de reconnaissance en Belgique (entre Sambre et Meuse) du général Dufieux (20 juillet) ; Gamelin tire les conséquences de la nouvelle neutralité belge dans l'hypothèse d'une « irruption massive et par surprise de divisions blindées et de grandes unités motorisées allemandes, appuyées par une puissante aviation de bombardement » (16 octobre) ; un éventuel changement de tendance du cabinet belge commande la prudence dans les relations d'état-major (Affaires étrangères, 5, 13 novembre 1936) ; indices d'une nouvelle orientation des conceptions défensives belges (1er février 1937) ; texte de la déclaration franco-britannique relevant la Belgique des engagements qui découlent pour elle du traité de Locarno (28 avril) ; on examinerait en Italie les conditions d'une collaboration militaire avec l'Allemagne contre le bloc anglo-français (2 juillet) ; le principe « de la défense à la frontière même » est abandonné et le centre de gravité des forces est ramené « nettement au Nord de la Meuse » : « la Belgique se replie sur elle-même » (note de la S.A.E., annotée par Gamelin, 19 octobre 1937) ; style de commandement du roi Léopold (21 décembre 1938).
- Notices descriptives et statistiques du 2e bureau sur les provinces de Liège, Luxembourg, Namur (881 p., 1906), de Brabant et de Hainaut (264 p., 806 p., 1909-1915), sur le royaume de Belgique : géographie, défenses, frontières, cours d'eau, voies de communication (87 p., 589 p., Service géographique de l'armée, 1939). Bulletin mensuel du commerce extérieur belge (185 p., 1920) ; la Sarre et le Grand duché de Luxembourg (L'Illustration, août 1921) ; création d'une commission interministérielle pour la mobilisation industrielle (1921-1924) ; bulletin de statistiques agricoles et commerciales (1922) ; relations commerciales avec la France, étude de Henri Charriant (15 p., 1922) ; rapport sur l'administration du Congo belge en 1928 (159 p., photographies, 1929) ; étude du lieutenant Charlo-teaux sur l'avenir du traitement de la houille (23 p., 1931) ; situation politique et militaire en Belgique, aux Pays-Bas, au Luxembourg (conférence du C.H.E.D.N., 1937) ; La Belgique et Eupen Malmédy (76 p., Bruxelles, 1937 par P. Van Werveke) ; production et consommation d'électricité en 1938 (12 p., 26 juillet 1939) ; bulletins de l'institut d'études européennes de Strasbourg : questions économiques liées au conflit (1er décembre 1939-10 mai 1940).
- Bulletins de la S.E.I.E. concernant l'économie belge (1921-1923, 1933-1935, 1940).
- [Dossier 1] Notices de la S.A.E. sur l'organisation de l'armée belge (1932), le système défensif du pays, le canal Albert, la défense contre aéronefs (1934) ; renseignements sur l'aéronautique (2e bureau de l'armée de l'Air, 1939-1940) ; [d. 2] notes de la S.A.E. : défense de la Belgique face à une attaque brusquée par des détachements rapides et motorisés (juin 1928) ; étude du tracé d'une position de résistance en Luxembourg susceptible de couvrir le bassin minier de Longwy-Briey (1930) ; projet officiel, prises de position et thèses en présence, opinion du général Weygand sur le système de défense belge (S.A.E., ms Weygand, avril 1931) ; organisation générale de la défense (1933-1934) ; étude de la région de l'Escaut au Sud de Gand ; séries de cartes renseignées sur la défense du pays (s.d.) ; notes de l'état-major de l'armée de l'Air sur les modalités d'un appui éventuel de l'aviation française (1930, 1936) ; [d. 3] dossier des destructions à opérer en cas de guerre dans la zone dévolue aux armées françaises (cartes et croquis, état-major de l'armée belge, 1926-1927).
- Rapports et comptes rendus d'officiers stagiaires à l'École de guerre belge, accompagnés de notes et de commentaires des attachés militaires et du 2e bureau, renseignant abondamment sur l'organisation, l'instruction et les doctrines de l'armée belge (1922-1938).
- Correspondances générale et administrative : questions matérielles, cérémonies, visites de personnalités, voyages en Belgique de l'École supérieure de guerre de Paris, désignation d'attachés militaires, mobilisation, réponses à des demandes de renseignement de l'attaché militaire belge à Paris (1918-1935).
- Correspondances générale et administrative : questions matérielles, cérémonies, visites de personnalités, voyages en Belgique de l'École supérieure de guerre de Paris, désignation d'attachés militaires, mobilisation, réponses à des demandes de renseignement de l'attaché militaire belge à Paris (1936-1940).
- Dossiers et correspondances administratives concernant les officiers français en mission auprès de l'armée belge (1914-1923). Stages et visites d'officiers belges en France (1937-1939).
- Dossiers des officiers français stagiaires en Belgique (1928-1938) et des hommes de troupe du poste de l'attaché militaire (1919-1930). Désignations d'officiers stagiaires (1923, 1935-1936).
- Dossiers des attachés militaires et de leurs adjoints.
- Documents d'origine française et belge (de 1940 et postérieurs) concernant les combats de l'armée belge en 1940 (cartes éditées en 1968 à Bruxelles) et les troupes belges stationnées en France.
- Études et notes du S.H.A.T. et d'origine belge concernant les transports de l'armée française en Belgique en 1940 et les opérations de l'armée belge en 1940 (documents postérieurs à 1940).
- Fiches établies en 1962 par le S.H.A.T. sur les opérations de mai 1940 en Belgique (mai 1940, 1962).
- BULGARIE
- ESPAGNE
- ÉTATS BALTES : ÉTIEVANT, chef des missions militaires françaises (Helsingfors) : 1919-1920
- GRANDE-BRETAGNE
- GRÈCE
- HONGRIE
- ITALIE
- PAYS-BAS
- PAYS SCANDINAVES : SUEDE-NORVEGE-DANEMARK
- POLOGNE
- Portugal : Rapports de l'attaché militaire
- ROUMANIE
- SUISSE : Rapports des attachés militaires
- TCHÉCOSLOVAQUIE
- U.R.S.S.
- YOUGOSLAVIE
- TURQUIE
- ÉTHIOPIE : Rapports de l'attaché militaire : 1930 : difficultés d'organiser un service de renseignements. 1932 : approvisionnement en pétrole. 1933 : l'Éthiopie se tourne vers la France par crainte de l'italie et ouvre une ambassade à Paris (5 janvier) ; activités de la mission militaire belge (2 février, 2 mai, 19 juin, 20 juillet) ; séjour de la mission Dakar-Djibouti (2 février) ; projet de réalisation d'un barrage sur le lac Tsana : rapports techniques et négociations entre l'Angleterre, le Soudan et l'Égypte ; hésitations de cette dernière à financer le projet (9, 14, 28 février, 12 juillet) ; incidents sur la frontière de la Côte française des Somalis, litige financier au sujet du chemin de fer franco-éthiopien ; après le renforcement militaire de Djibouti le Négus semble vouloir orienter son commerce vers la Somalie anglaise (2, 8, 16, 20, 22, 30 mars, 13 avril, 25 mai, 7 octobre) ; liaison avec la division navale du Levant (6, 7 mars, 29 Novembre) ; nouvelles aéronautiques (passim) ; manifestation de nationalisme des Allemands (9 avril) ; expulsion de Monfreid (22 mai) ; sentiments francophiles et voyage aux États-Unis du Ras Desta (25 mai, 30 juin, 11 septembre) ; signature d'un traité de commerce avec la Suisse (30 juin) ; mentalité des jeunes abyssins (17 juillet) ; essai de conclusion d'un emprunt avec l'Angleterre, problèmes financiers (17 juin, 18 août, 6 septembre, 9 octobre) ; vente de munitions et importations de matériels de guerre (28 juin, 27 octobre, 26 novembre, 7 décembre) ; troubles dans l'ogaden (30 juin, 8 décembre) ; voyage de l'impératrice à Jérusalem (18 septembre, 6 novembre) ; fête de la Maskale (28 septembre) ; projets d'émigration d'israélites allemands (24 octobre) ; prochaine arrivée d'un ministre japonais (26 octobre) ; exportations de peaux (27 décembre) ; relations radiotélégraphiques avec le Caire (29 décembre). 1934 : visées italiennes sur le pays (8 janvier, 1er mai) ; les difficultés du Négus avec ses vassaux empêchent la réalisation des réformes administratives (10 février) ; règlement du litige du chemin de fer franco-éthiopien et amélioration des relations avec la France (14 janvier, 12 mars, 3 avril, 1er mai, 20 juin) ; achats de matériels de guerre (25 février, 18 juillet, 8 octobre) ; nouvelles aéronautiques (passim) ; réduction du traitement des fonctionnaires étrangers (13 mars) ; activités de la mission belge (20, 22 mars, 22 août, 29 septembre, 30 octobre, 28 novembre, 30, 31 décembre) ; aggravation de la situation sur la frontière mal délimitée de la Somalie italienne (23 mars) ; crise commerciale et financière et tentatives d'assainissement du trésor public (19 avril, 22 mai, 15 juillet, 30 août, 31 octobre) ; nomination de commandants de province (14 mai) ; un général suédois est chargé de réorganiser l'armée (18, 20 mai, 2 juin) ; voyage du Négus à Harrar (2, 10 juin) ; étude géographique et tactique d'un éventuel conflit avec l'italie (31 p., 15 juin) ; relations avec la France, l'Angleterre, l'italie (15 juillet, 20 septembre) et le Yémen (31 juillet, 21 août) ; remplacement du ministre de la Guerre (29 août, 10 septembre, 27 novembre) ; fête de la Maskale (29 septembre) ; l'Éthiopie n'a aucune intention agressive contre l'italie (6, 17 octobre) ; stations de T.S.F. (27 octobre) ; forces italiennes en Érythrée et Somalie (4 novembre) ; incidents italo-éthiopiens à Gondar et à Walwal dans l'ogaden (20 novembre, 3, 8, 14,28, 30 décembre). 1935 : l'Éthiopie proteste auprès de la S.D.N., l'Italie refuse un arbitrage puis accepte des négociations et la création d'une zone neutre, difficile à établir (3, 6, 14, 21, 30, 31 janvier, 6, 13, 26 février, 7 mars) ; visite du prince héritier de Suède (18 janvier) ; composition de l'escadrille éthiopienne (19 janvier, 4 juin, 4 septembre) ; incident de Mahareito sur la frontière de la Côte française des Somalis (29 janvier, 4, 12, 23 février) ; commandes d'armements (25 février, 13 mars) ; relève de l'attaché militaire italien (11, 26 février) ; effectifs et ressources de l'armée (5 mars) ; l'Italie profite de l'arrêt des négociations pour renforcer l'Érythrée (21, 28 mars, 3 avril, 28 mai) ; activités des missions belge et suédoise (2 avril, 29 juillet, 4 novembre, 19 décembre) ; voies de pénétration à partir de l'Érythrée et de la Somalie (8, 15, 30 avril) ; les Anglais tirent bénéfice de leur attitude favorable à la cause éthiopienne (15 avril, 29 mai) ; le Négus cherche à développer le patriotisme (29 avril, 27 mai) ; géographie de la Dan-kalie et du bassin de l'Aouache (17 juin) ; l'Italie souhaite un protectorat total sur le pays ; préparatifs militaires éthiopiens ; la Belgique, la Tchécoslovaquie et l'Angleterre suspendent les exportations d'armes (2 juillet) ; la guerre est inévitable ; nomination d'un nouvel arbitre de la S.D.N. ; mesures de sécurité prises par l'Angleterre et la France pour protéger leurs ressortissants ; pronostics militaires (juillet à octobre) ; opérations militaires ; difficultés d'obtenir des renseignements (octobre à décembre) ; installation d'un détachement français à Diré-Daoua (14 octobre, 29 Novembre) ; situation intérieure et financière (2, 23, 29 Novembre) ; l'Éthiopie est opposée aux propositions Hoare-Laval (19 décembre). 1936 : bombardement de formations sanitaires par les Italiens (8, 9 janvier, 4 mars) ; situation militaire (janvier à mai, passim) ; désorganisation des missions étrangères et activités des attachés militaires (29 janvier) ; effectifs italiens (3 mars) ; troubles intérieurs et départ de l'Empereur d'Addis-Abeba où les Italiens font leur entrée (22 mars, 5, 27 avril, 1, 7, 11, 14 mai) ; ceux-ci ne semblent pas avoir de plan précis pour l'occupation et l'administration du pays (18, 25 mai, 3, 23 juin, 2, 6 juillet) ; déroulement et enseignements du conflit, étude de synthèse (11 juin) ; géographie et situation des zones non occupées (10 juillet) ; incidents le long de la voie ferrée (15 juillet, 20 août, 14, 21 octobre) ; politique brutale du maréchal Graziani (23 juillet) ; insécurité aux abords de la capitale (juillet-septembre) ; bilan de l'occupation et de la pacification (28 août) ; création d'une armée coloniale italienne (16, 19, 24 septembre) ; les Italiens s'efforcent de résoudre le problème des transports qui entrave la vie économique et leur politique de travaux (2, 6 octobre, 3, 23 novembre, 8 décembre) ; reprise des opérations de pacification avec la participation des chefs et des troupes indigènes (octobre à décembre). 1937 : méthodes et progrès de l'occupation (8, 15, 27 janvier, 10, 17, 23 février, 2 mars) ; difficultés de la mise en valeur du pays (17 janvier, 16 février, 16 mars) ; problèmes commerciaux et économiques (27 janvier, 2, 10, 17 février, 6, 21 avril) ; l'Italie favorise la religion musulmane (9 février) ; attentat contre le maréchal Graziani (23 février, 3, 8 mars) ; les Italiens voudraient faire concurrence à Djibouti par le port d'Assab (6 avril) ; des foyers de trouble subsistent dans l'intérieur (5, 11, 26 mai, 2, 9, 16 juin) ; mécontentement du maréchal Graziani contre les autorités de la métropole (18 mai) ; rapport annuel pour 1936-1937 : événements et organisation militaire, communications, économie, colonisation et intérêts étrangers, conclusion pessimiste (8 juin). Cartes de l'Éthiopie. Dossier de cessions de matériels de guerre par la France (1927-1935). Problème des sanctions à l'égard de l'Italie : proposition anglaise, situation financière de l'Italie, contrôle des exportations d'armes et de munitions (S.D.N.). Les implications du conflit italo-éthiopien sur les relations italo-anglaises (S.A.E., 28 p., 2 septembre 1935). Revendications italiennes au sujet du port de Djibouti (attaché financier à Rome, 29 décembre 1938). Dossier de mobilisation du poste.
- IRAN : Rapports des attachés militaires
- AFGHANISTAN : [Dossier 1] Rapports des attachés militaires et du ministère des Affaires étrangères et notes de la S.R. : 1921 : ratification et analyse du traité d'alliance turco-afghan (5 novembre) ; venue d'une mission afghane en France dirigée par le prince Vali Khan ; le gouvernement afghan désire nouer des relations (ministère des Affaires étrangères, 9 Novembre). 1922 : échange d'ambassadeurs avec l'Angleterre (23 janvier, 9 mars) ; lenteurs de Paris à reconnaître l'ambassadeur afghan (6, 17 mars, 20 avril) ; le mouvement nationaliste turc et l'Afghanistan (13 mars) ; la presse afghane (30 avril) ; note du consul de France à Calcutta sur l'école militaire de Kaboul (5 mai) ; analyse d'articles du « Times », sur l'indépendance afghane (15 juin) ; résumé de la situation en Afghanistan (attaché militaire à Londres, 31 juillet). 1923 : incidents de frontière avec l'Inde (7 janvier) ; arrivée de l'attaché militaire (27 décembre). 1924 : la tension anglo-afghane : griefs des britanniques et défense du gouvernement afghan (7, 26 janvier) ; possibilités d'opérations des Anglais (8 janvier) ; étude d'ensemble sur le pays : difficulté de se documenter, organisation de l'État et de l'armée, situation économique et communications, analyse des traités signés en 1921 avec la Russie, la Turquie, la Perse, l'Angleterre et liste des légations étrangères à Kaboul (19 février) ; récit du voyage Peshawar-Kaboul et projet de voyage vers Téhéran en voiture chenillée Citroën (21 février) ; relations avec l'Allemagne (7 mars) ; ressources minières (12 mars) ; l'armée afghane : historique, organisation territoriale, armement, recrutement (28 mars) ; représentation diplomatique et rapports avec la Turquie (10, 20 avril) ; la politique de modernisation de l'Emir provoque des soulèvements de tribus dans la région de Khost (24 avril, 5 mai, 7 juin, 9, 22 août, 19 Novembre) ; différend au sujet de la mise sur pied d'une école française à Kaboul (5 mai) ; projet d'achats de voitures chenillées Citroën (23 mai) ; activités d'officiers allemands à Kaboul (24 mai, 16 juin) ; exploitation du poste de T.S.F. de la légation (12 juin) ; essai d'ouverture diplomatique vers les États-Unis et le Japon (15 juin) ; analyse du traité commercial anglo-afghan (17 juin) ; historique des relations russo-afghanes, conséquences pour la Russie de l'indépendance du pays, texte du traité russo-afghan, le problème du Turkestan afghan (8 juillet) ; la Djirga approuve la politique extérieure mais s'oppose à la politique de modernisation (10, 23 juillet) ; le général Nadir Khan ambassadeur à Paris (11, 12 juillet) ; sériciculture ; situation de l'Italie en Afghanistan (21 juillet) ; statut des étrangers (8 août) ; projets de départ pour la Perse de l'attaché militaire (20 août, 6, 16 septembre) ; situation de l'aviation (23 août) ; entretien avec l'Émir (ambassadeur, 14, 17 septembre) ; voyage Kaboul-Téhéran (10, 25 octobre). 1925 : situation intérieure (Téhéran, 13 février, 6 mars, 2 mai). 1927 : note du ministre de France sur l'aviation militaire (20 janvier) ; le roi poursuit la politique d'apaisement, réorganisation de l'armée (1er juin) ; voyage du roi en Europe (10, 18, 22 décembre). 1928 : texte de l'accord russo-afghan de transport aérien entre Kaboul et Tachkent (9 février) ; révolte de tribus (4 décembre). 1929 : refroidissement des rapports avec les Soviets et influence de la Turquie (5 janvier) ; la Russie et la Turquie pousseraient le Shah à reconnaître à nouveau Amanullah comme roi (16 février, 4 mai) ; situation après le soulèvement contre la politique de modernisation d'Amanullah (10 mars) ; extrait d'une lettre du chef de la mission archéologique française en Afghanistan (29 juin) ; fermeture de la légation (9 juillet) ; nouvelles parvenues à Téhéran par les journaux de Lahore (13 juillet). 1930 : climat de guerre civile (22, 23 août, 4 novembre, 12 décembre et 17 mars 1931). 1932 : célébration de l'anniversaire de l'indépendance (ambassadeur, 22 août 1932 et 27 août 1935). 1936 : rapport d'ensemble : grande réforme financière et introduction du papier monnaie ; le commerce des principaux produits est un monopole d'État ; recherche pétrolière et voies de communications ; situation politique ; l'organisation de l'armée forte de 12 divisions ; en annexe, texte en anglais de la proclamation du gouvernement de la province frontière du Nord-Ouest aux tribus Mohmands (25 septembre) ; pétroles de la région d'Hérat (14 octobre) ; projet d'envoi d'une mission militaire française (7, 19 décembre) ; pacte à quatre (18 novembre) ; mission militaire turque (4 avril 1937). 1938 : expulsion de l'attaché militaire japonais (25 février) ; navigation aérienne en Afghanistan (6 août) ; situation politique (10 août, 8 septembre) ; voyage de l'attaché militaire allemand (29 août) et pénétration allemande (28 décembre). 1939 : les instructeurs militaire turcs sont préférés aux allemands (16 janvier 1939). 1940 : organisation de transports vers l'Allemagne à travers l'U.R.S.S. (chargé d'affaires, 8 mars) ; communications routières, avec une carte (13 avril) ; [d. 2] études du 2e bureau (1924-1937) : « L'Afghanistan nouveau », avec une bibliographie (mai 1926), « La Révolte afghane de 1928 », « La Situation en Afghanistan du 15 janvier au 16 janvier 1929 » (1929) ; [d. 3] bulletins de renseignements et coupures de presse de 1923 à 1939 ; [d. 4] documentation sur l'économie ; [d. 5] cessions de matériels de guerre (1923-1938).
- CHINE
- EXTREME-ORIENT
- JAPON
- SIAM
- ÉTATS-UNIS
- Mexique : Le poste de Mexico dépendait de celui de Washington : [Dossier 1] 1) Correspondances diplomatiques en provenance du ministre des Affaires étrangères et des représentants de la France au Mexique : le gouvernement américain saurait gré à la France de ne pas vendre d'armes au Mexique (31 juillet 1919) ; portrait du général Salinas, attaché militaire du Mexique en Europe (13 novembre 1922) ; tableau de la politique extérieure du pays qui manifeste sa sympathie à l'Allemagne à l'occasion de la visite du croiseur Berlin (22 p., 6 février, 7 avril 1925) ; Mexico négocierait des achats de matériels de guerre allemands (1er mai, 2 juin, 17 juillet) ; venue d'une mission commerciale allemande (1er juin, 17 juillet) ; si Mexico désire engager des instructeurs français il convient de ne pas encourager sa demande (18 juin) ; réorganisation de l'armée ; celle-ci est affaiblie par sa participation étroite à la politique (31 mars, 7 mai 1926) ; la France peut, à l'exemple des Etats-Unis, reprendre ses livraisons de matériels de guerre au Mexique (10 avril) ; le socialiste Vasconcelos fait l'éloge de l'armée française (7 mai) ; renseignements sur le général Gomez (9 juin, 7, 19 juillet) ; séjour à Mexico du prince Henri de Prusse (26 novembre, 8 décembre) ; l'interprétation intransigeante que le président Calles donne à la loi sur les sociétés pétrolières crée un différend avec les États-Unis (4 février 1927) ; le Quai d'Orsay s'oppose à l'envoi d'une mission militaire si le Mexique en fait la demande (7 avril) ; révolution à Vera Cruz (7, 10 mars 1929) ; les États-Unis lèvent l'embargo sur l'exportation des armes au Mexique (28 juillet) ; des unités navales sont commandées à l'Espagne, Hotchkiss en fournit l'armement (23 janvier, 20, 24 février, 16 mars 1933) ; gisements de béryllium (30 mai) ; effectifs de l'armée (25 septembre 1934) ; visite de l'attaché militaire, la dernière remontait à 1925 (10 novembre) ; le programme militaire de 1935 à 1939 prévoit de fortes acquisitions de matériels (20 août 1935) ; une partie de la convention des limites de 1853 avec les États-Unis est abrogée (15 avril 1937) ; fabriques d'armes et de munitions (octobre) ; création d'une unité de chars (janvier 1938) ; la réduction des liaisons maritimes avec la France ne peut que profiter à l'Allemagne (27 avril) ; déclaration de neutralité du président Cardenas ; ses modalités d'application (2, 11 septembre, 2, 31 octobre, 21 novembre 1939) ; rapport de Jacques Soustelle sur l'action et les possibilités de propagande allemande et française au Mexique (17 décembre). 2) visites de l'attaché militaire au Mexique : réorganisation de l'armée (16 mai 1925), écoles militaires, situation des Français dans le pays (4 décembre 1934) ; remise d'un drapeau français aux écoles militaires mexicaines (14 novembre 1935) ; [d. 2] notes de la S.R. et rapports de l'attaché militaire concernant l'armée mexicaine : haut commandement, organisation, effectifs, aviation, achats d'armements, réforme militaire de 1925 (1914-1939) ; [d. 3] notes de la S.R., rapports de l'attaché militaire, bulletin de la S.E.I.E., coupures de presse : histoire, ressources, institutions du pays (1916-1933) ; persécutions contre les catholiques ; composition du cabinet Cardenas (1935) ; expulsion du général Callés (25 avril, 8 mai 1936) ; situation révolutionnaire du pays ; visées des États-Unis sur le Mexique et l'Amérique centrale (1920-1939) ; [d. 4] notes de la S.A.E., du S.C.M.E. et de la S.A.E.T. concernant les cessions de matériels de guerre au Mexique (1932-1939).
- AMÉRIQUE CENTRALE ET AMÉRIQUE DU SUD
- ARGENTINE : Rapports des attachés militaires
- BOLIVIE : [Dossier 1] Notes des Affaires étrangères et de la S.A.E. : l'envoi d'une mission militaire ne peut être envisagé tant que le général allemand Kundt sera chef d'état-major de l'armée bolivienne (1920-1922) et n'est pas souhaitable, malgré le départ de ce dernier, en raison du litige de Tacna-Arica (1926-1927) ; l'envoi de deux instructeurs est refusé à cause du conflit du Chaco (1933) mais des officiers français en retraite ou en disponibilité pourraient être engagés à titre privé-par la Bolivie (avril 1934) ; la question de l'envoi d'une mission est de nouveau à l'étude (1937) ; condition de vie à La Paz (attaché militaire à Buenos Aires, 1er avril 1937) ; [d. 2] correspondances diplomatiques en provenance du ministre des Affaires étrangères et des représentants de la France en Bolivie, au Paraguay, en Argentine, Tchécoslovaquie et au Portugal : visite du général Clément chargé d'une tournée de propagande en Amérique du Sud (6 mai 1919) ; une souscription pour l'achat d'avions est ouverte à La Paz (20 avril 1920, 5 mars 1921) ; séjour du général Mangin (5 septembre 1921) ; série de rapports concernant le général Hans Kundt (1921-1929) ; maisons de commerce allemandes du pays (21 juillet 1921) ; publication à La Paz d'une lettre sur la « honte noire » (2 octobre 1922) ; un officier se rend en Europe pour acheter des avions allemands (13 août 1924) ; la France devrait créer de nouvelles écoles pour gêner l'influence allemande en Bolivie (18 septembre 1925) ; La Paz accepte la médiation de Buenos Aires dans le litige qui l'oppose au Paraguay (19 Novembre) ; l'Allemagne construit des matériels aéronautiques ; l'aviation et l'artillerie française en Bolivie (7 juillet 1926) ; départ en Europe d'une mission d'achats d'armements (25 février, 22 avril 1927) ; possibilités de vente des avions Farman en Bolivie (20 juillet) ; les services d'armement français doivent réserver un bon accueil au colonel Fausto Gonzalez (18 février 1928) ; en raison des difficultés avec le Paraguay, La Paz renforce son aviation (9 juillet) ; la conférence de Buenos Aires entre la Bolivie et le Paraguay échoue, textes (18 juillet) ; le voyage du président paraguayen en Amérique du Sud a pour but d'intimider la Bolivie (25 juillet) ; les États-Unis prêteront à celle-ci 23 millions de dollars à condition qu'elle réduise les effectifs de son armée (17 septembre) ; un officier pilote une reconnaissance aérienne du chef d'état-major bolivien dans le Chaco (1er octobre, 5 décembre) ; le Paraguay continue de s'armer malgré la pénurie de son trésor (23 mars, 20 avril 1929) ; listes des concessions que ce pays pourrait consentir dans l'affaire du Chaco (26juin 1929) ; l'armée bolivienne demande l'autorisation de traduire Les Armées françaises dans la Grande Guerre (19311932) ; conflit du Chaco (7 octobre 1932) ; des mortiers Brandt destinés à la Bolivie sont retenus au Chili (9 février 1933) ; situation politique et militaire ; difficultés avec les populations indiennes (14 mars 1934) ; envoi d'une mission tchécoslovaque à La Paz (23 mai, 7 juin, 25 août) ; Chaco : échec des arbitrages, opérations, prétentions des belligérants (8 novembre) ; le Portugal autorise à nouveau les exportations d'armes vers la Bolivie (22 mars 1935) ; un général mexicain irait s'enrôler dans l'armée bolivienne (12 mars) ; la réorganisation de la police est confiée à une mission italienne (21 janvier 1937) ; des accords économiques sont conclus avec le Brésil et l'Argentine, en particulier pour le transit du pétrole, d'autres vont l'être avec le Pérou et le Chili (13 octobre, 30 décembre) ; réarmement bolivien (2 février 1938) ; arrivée de la mission italienne (11 février) ; décret concernant l'exploitation de l'étain (10 octobre) ; instruction prémilitaire obligatoire (5 août 1939) ; [d.3] le conflit du Chaco : a) notes de la S.A.E. : renseignements sur la Bolivie (1928-1932) ; la question du Chaco Boreal : études et cartes, traduction d'une étude brésilienne (1929-1937). b) rapports de l'attaché militaire à Buenos Aires : la Bolivie demande au Creusot des offres de prix de matériels militaires (26 mai 1928) ; incident sur la frontière imprécise du Chaco (14, 19 décembre) ; l'état-major argentin ne croit pas au déclenchement d'un conflit (25 janvier 1929) ; l'arbitrage de l'Uruguay ramène le calme (21 avril 1930) ; des officiers allemands seraient en route pour la Bolivie (24 janvier 1932) ; historique des débuts du conflit aggravé par la découverte de gisements pétroliers (20 avril, 19 juillet) ; voyage de l'attaché de l'Air à La Paz où l'état-major lui demande des renseignements sur les matériels d'artillerie et d'aviation français (16 juin) ; les 19 États américains invitent les belligérants à se retirer des positions conquises mais la Bolivie refuse (9 août) ; la Standard Oil Company of Bolivia soutient financièrement La Paz (29 août, 27 septembre) ; les deux pays sont en guerre sans l'avoir déclarée ; situation militaire (27 septembre, 7 octobre) ; l'attaché de l'Air visite le front du Chaco : armée du Paraguay, caractère de la guerre, l'aide de l'Argentine au Paraguay, intérêts pétroliers en jeu (23 novembre 1932) ; note sur le général Kundt (30 septembre 1933) ; origines du conflit ; situation de l'armée paraguayenne (4 novembre) ; échec militaire bolivien (14 décembre) ; travaux de la Commission de la S.D.N. ; le Paraguay augmente ses prétentions (3 janvier, 26 février 1934) ; la Commission de la S.D.N. échoue ; le Paraguay est aidé par l'Argentine (6 avril, 22 mai) ; opérations militaires (passim, 1934-1935) ; dispositions et modalités d'exécution du protocole de paix dû à la médiation des Etats voisins et de Washington (4 mai, 7, 14, 19 juin) ; la démobilisation s'opère sous le contrôle de la Commission des Neutres (26 septembre) qui propose un projet de traité de paix (carte, 25 octobre) ; l'accord sur l'échange des prisonniers (21 janvier 1936) ; les pétroles boliviens pourront transiter par le territoire argentin (26 novembre 1937) ; conférence de paix de Buenos Aires (8 juin, 4 juillet 1938) et clauses du traité (22 juillet, 12 août) ; une commission d'arbitrage trace la nouvelle frontière (croquis, 17 octobre) ; c) rapport de la Commission de la S.D.N. (67 p., Genève, 11 mai 1934) accompagné de 3 rapports du général Freydenberg, membre de cette commission, sur sa mission au Chaco et l'in-fluence française en Amérique du Sud juin-juillet 1934). [d.4] rapports des attachés militaires au Pérou et au Chili : production minière de la Bolivie (22 octobre 1918) ; organisation de l'armée (2 août 1919) ; transit par le Chili de matériels de guerre destinés à la Bolivie (22 février, 14 mars 1933) et départs pour ce pays d'ex-officiers et d'ouvriers chiliens (19 mai, 22 juin 1934) ; texte d'une interview du ministre de la Guerre bolivien : « la solution du conflit du Chaco est à Buenos Aires » (2 février 1935) ; notes de la S.R., de la S.E.I.E., coupures de presse concernant les influences économiques et militaires sur le pays, l'arrivée en Bolivie du capitaine Rôhm (1929), les troubles intérieurs (1930). [d.5] cessions de matériels de guerre par la France : correspondances de la S.A.E., des Affaires étrangères, du S.C.M.E. et de la S.A.E.T. (1926-1939).
- BRESIL
- CHILI
- COLOMBIE : Attaché militaire : DARD de l'ESPINAY : [Dossier 1] a) représentants militaires français : correspondances au sujet d'un projet d'engagement d'une mission militaire française ; engagement d'une mission suisse en 1923 (attaché militaire et Quai d'Orsay, 1920-1924, 1939) ; escale du croiseur Jeanne d'Arc (1921) ; difficultés et renvoi de la mission d'aviation (1921-1922) ; bilan des quatre ans de séjour en Colombie, Vénézuela, Équateur de l'attaché militaire (1923) ; négociations au sujet de l'envoi d'une mission géo-désique et d'une mission d'aviation (1927-1931). b) influences étrangères : présence d'officiers allemands dans le pays (attaché militaire, ministre de France, 1923-1939) ; historique et activités de la S.C.A.D.T.A., société colombo-allemande de transports aériens (25 avril 1925) ; composition, activités, résultats de la mission suisse (S. R., ministre de France, 1925-1928) ; attachés militaires et officiers colombiens à l'étranger et en France (S. A. E., Quai d'Orsay, 1926-1939) ; attachés militaires et instructeurs étrangers à Bogota (ministre de France, 27 juin 1934) ; activités du général tchèque Klecanda en Colombie (1934) ; envoi de missions navale et aéronautique américaines (attaché militaire à Washington et ministre de France, 1934, 1938-1939). [d. 2] questions politiques et économiques. a) Vie à Bogota, influence du clergé (S. R. 1930) ; notices de la S.A.E. sur le pays (1932, 1939) ; extraits de mémoires des ministres colombiens de l'Intérieur et des Travaux publics (1934). b) Correspondances de l'attaché militaire et du ministre de France : le gouvernement a l'intention d'adhérer à la convention de Saint-Germain (18 juin 1920) ; le sénat américain ratifie le traité avec la Colombie (22 avril 1921) ; la capture d'un général rebelle vénézuélien par l'armée colombienne peut améliorer les relations des deux pays (16 janvier 1923) ; une conspiration militaire étouffée est l'indice d'un vif mécontentement dans l'armée (18, 20 avril 1925) ; analyse du traité des limites et de navigation colombo-brésilien (28 avril 1930) ; situation politique après la mort du docteur Carlos Urueta, ministre de la Guerre (23 septembre 1931). c) la prospection pétrolière et ses résultats, influence des sociétés américaines (attaché militaire, 10 mai 1923) ; informations économiques (1924-1934) ; production et investissements pétroliers (ministre de France, 14 septembre 1937) ; [d. 3] questions militaires. a) Rapports de l'attaché militaire : possibilités d'engagement d'une mission et d'achats de matériels de guerre en France (7 mars 1923) ; retard des armées de Equateur, de la Colombie et du Venezuela, aperçus sur la situation politique et économique de ces pays (19 mars) ; l'armée va abandonner l'uniforme prussien (12 avril) ; organisation militaire (15 mai 1923) ; décret de réorganisation de l'armée (attaché militaire au Chili, 26 juin 1932). b) Rapports du ministre de France : statistiques des effectifs et dépenses militaires de tous les États américains (18 juillet 1924) ; les scandales financiers du ministère de la Guerre (9 décembre) ; augmentation des effectifs de l'armée (21 janvier 1928) ; la diffusion des publications militaires françaises en Colombie est souhaitable (28 janvier 1932) ; doublement des effectifs de l'armée depuis 1932 (26 novembre 1936) ; réorganisation militaire (16juin 1938) ; accident aérien au cours des fêtes du 4e centenaire de la capitale (1er août 1938) ; état des forces militaires du pays (S.A.E., 1938) ; [d.4] correspondances des S.C.M.E., S.A.E.T., des ministres de la Guerre et des Affaires étrangères au sujet des cessions de matériels de guerre à la Colombie (1921-1940).
- ÉQUATEUR : Attaché militaire : DARD de l'ESPINAY : [Dossier 1] Rapports de l'attaché militaire : genèse des missions économiques et militaire italienne (1921-1924) ; le litige frontalier avec le Pérou conditionne la politique extérieure du pays, historique de la question (25 juillet, 29 Novembre, 10 décembre 1921) ; le président de la République, favorable à la venue d'une mission militaire italienne, réserve un accueil plutôt froid à l'attaché militaire (29 Novembre, 9 décembre) ; l'attaché militaire américain est hostile aux missions françaises en Amérique du Sud (9 décembre) ; arrivée en trois échelons de la mission italienne, imposée au ministre de la Guerre par le président de la République (6, 23, 31 janvier, 5, 26 juin 1922) ; cette mission accompagnée d'un don de matériels de guerre n'est pas du goût des États-Unis, (18, 23 février) ; difficultés d'action de l'attaché militaire (8 mars, 6 avril) ; reprise des relations diplomatiques avec l'Allemagne (20 mars) ; fin du contrat de la mission française d'aviation (20 mars, 16 avril) ; tremblement de terre de Quito (8, 19 avril) ; le Trésor est vide et le pays ne peut obtenir de crédits aux États-Unis (20 avril, 1er octobre) ; activités de la mission économique italienne (26 juin, 1er octobre) et richesse en moyens de la mission militaire (1er octobre, 20 janvier 1923) ; territoires et populations du pays (25 décembre 1922) ; organisation militaire (26 décembre 1922) ; troubles sociaux de Guayaquil (29 décembre) ; convoitises étrangères sur l'archipel des Galapagos (14 février 1923) ; dette extérieure, situation du Trésor, lutte contre l'agiotage, coût de la mission italienne (20 avril, 8 mai) ; détails du contrat de celle-ci (29 juin) ; [d.2] correspondances du Quai d'Orsay et du ministre de France à Quito : composition de la mission économique italienne dirigée par le colonel Accorsi (28 octobre, 6 novembre 1920), ses activités (19 avril 1921) ; la mission française d'aviation est concurrencée par des aviateurs italiens (25 avril, 1er mai, 16 juin) ; faiblesse de l'aviation (15 octobre) ; arrivée et composition de la mission militaire italienne commandée par le général Pirzio Biroli (11, 30 janvier, 17 mars, 21 mai, 19 juillet 1922) ; inauguration d'une école d'aviation à Guayaquil (1er août) ; cette mission militaire italienne, la première à l'étranger depuis la guerre, sera visitée par le prince héritier d'Italie ; bilan favorable de son action mais son contrat n'est renouvellé que partiellement par mesure d'économie (31 décembre 1924, 13 février, 17 avril 1925) ; inauguration de l'école d'aviation de Quito (15 avril 1925) ; escale du croiseur Berlin 10 novembre) ; départ de la mission militaire et arrivée du nouveau ministre d'Italie ; le général Pirzio Biroli restera en tant qu'attaché militaire ; influence de l'Italie dans le pays (27 juillet, 9 août 1927) ; l'activité des militaires italiens depuis 1922 (19 octobre 1933) ; effectifs de l'armée (10 mars 1934, 4 avril 1935) ; la nouvelle mission militaire italienne (21 février, 17 mai, 1er juin 1937) ; des ponts et des matériels de transport sont commandés à l'Allemagne et à l'Italie qui consentent des crédits (4 novembre 1937) ; trafic du port de Callao en octobre (14 novembre 1939) ; [d. 3] Notices sommaires sur le pays et son armée (S.A.E., 1924, 1938) ; coupures de presse : politique et économie (1922-1938) ; [d. 4] cessions de matériels de guerre par la France à l'Équateur (1932-1936) ; [d. 5] mission française d'aviation (1921-1922) composée d'un pilote et d'un mécanicien : cette mission dont les activités sont faibles, échoue faute d'un matériel récent et adapté (correspondances de la S.A.E., des Affaires étrangères, du ministre de France à Quito et de l'attaché militaire, 1920-1922).
- PARAGUAY
- PÉROU
- URUGUAY
- VENEZUELA
- 3e BUREAU
- 4e BUREAU
- SECTION D'AFRIQUE puis SECTION D'ÉTUDES puis SECTION D'OUTRE-MER puis 9e BUREAU DE L'E.M.A.
- SECTION DE L'ARMEMENT ET DES ÉTUDES TECHNIQUES (S.A.E.T.)
- ATTACHÉS MILITAIRES
- État-Major des Armées, Directions et Inspections, Gouvernement militaire et région de Paris
Last modification on 24/12/2021
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