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1919 : la base de ravitaillement des armées françaises de Rhénanie, est transférée de Rotterdam à Anvers (mission, 15 mars) ; démobilisation de certaines classes (7 juillet) ; prochaine publication du Bulletin belge des sciences militaires (8 août) ; Paris demande des précisions sur les mesures prises en matière de service militaire et d'instruction (11 août) ; audiences du roi : les relations et la politique militaires franco-belges doivent être harmonisées (28 août, 11 décembre) ; l'artillerie lourde ; programme de l'École de guerre (28 août) ; organisation de la gendarmerie (11 septembre) ; renseignements militaires : mutation de généraux, service militaire, appel de classes (11 septembre, 19 Novembre) ; attaché aéronautique italien (12 septembre) ; partisans, adversaires, chances du projet d'établissement d'une république rhénane ; état d'esprit des populations dans la zone belge d'occupation (14 septembre, 11, 22 novembre) ; création d'une médaille commémorative de la guerre (23 septembre) ; organisation militaire territoriale (29 septembre) ; attributions du chef d'état-major (6 octobre) ; tête italo-belge au théâtre royal du Parc (4, 5 novembre) ; l'E.M.A. demande des renseignements sur le comportement des places fortes belges en 1914 (26 novembre, 2 décembre) ; augmentation de l'effectif des officiers (1er décembre) ; liste des attachés militaires en poste à Bruxelles (22 décembre). 1920 : l'armée comme « École nationale générale », brochure et opinions du général Cabra (8 avril) ; réorganisation du ministère de la Guerre (5 janvier, 4 mars) ; limites d'âges des officiers, (13, 26 janvier) ; le roi déplore devant l'attaché militaire le manque de traditions militaires de son pays (29, 30 janvier) ; des soldats manifestent à Anvers et Namur contre l'inégalité du temps de service (30, 31 janvier) ; les milieux ministériels sont déçus par la conférence d'Ypres (4 février) ; le général Maglinse souhaite la réalisation d'un accord militaire avec la France (18 février, 19 mars) qui devrait aboutir à la création d'un service de renseignements unique (18 mars) ; nouvelles attributions du chef d'état-major (28 février) ; durée du service militaire (5, 6 mars) ; revues militaires du 8 avril (13 avril) ; renseignements sur l'armée (27 mai) ; le chef d'état-major désire que l'attaché militaire assiste aux débats parlementaires sur le budget militaire (28 mai) au cours desquels est affirmée l'indépendance militaire du pays (18 juin) ; visite des camps militaires (mai, 9 juin) ; le projet d'accord militaire satisfait l'état-major et l'opinion mais le premier ministre Delacroix préférerait un accord tripartite (17, 22, 25 juin) ; les catholiques flamands et les socialistes sont opposés à cet accord (3 juillet, 10 septembre) ; le roi désire connaître les intentions françaises sur la durée du service militaire (17 juillet) ; manifestations d'amitié franco-belge avant la signa-ture de l'accord (22, 23, 24 juillet) ; discussions au Sénat sur l'armée (26 juillet) ; Janson, ministre de la Défense, surseoit à sa démission sous réserve que l'accord soit ratifié (10 septembre) ; l'attaché militaire britannique estime qu'un accord tripartite est nécessaire mais Lloyd George devant Delacroix élude la décision (10 septembre, 15 octobre) ; signature de l'accord ; entretiens avec le général Maglinse sous l'impulsion duquel l'état-major a accompli des efforts considérables pour remédier à la crise de l'armée (14 septembre, 7 octobre) ; démission de Janson et crise ministérielle ; formation d'un cabinet Carton de Wiart (25 septembre, 13, 26 novembre) ; capitulation d'Anvers en 1914, étude du capitaine Veherbegh (12 p., 22 octobre) ; la propagande française en Belgique doit être discrète, estime l'ambassadeur (6 décembre) ; prises de position favorables à la réduction du service militaire (10 décembre). 1921 : le chef d'état-major estime que la division des partis et leur méconnaissance des questions militaires gêne le travail de l'état-major (7 janvier) ; l'ambassadeur de France est victime d'une campagne de presse dont l'attitude du roi atténue les effets (7, 14, 21 janvier) ; relations économiques avec la France : le trafic concernant l'Alsace-Lorraine va désormais favoriser le port de Dunkerque au détriment de celui d'Anvers (22 janvier) ; la défense côtière est inexistante (15, 25 janvier, 16 mars) ; Mahmoud Khan, ministre de Perse à Bruxelles analyse les conséquences de la crise russe sur la politique de bascule pratiquée par son pays entre l'Angleterre et la Russie (26 janvier) ; voyage en zone rhénane occupée par l'armée belge (9 février) ; organisation et effectifs mobilisables de l'armée (10 février) ; l'armée française sert de modèle, affirme le roi (16 février) ; la personnalité du nouveau ministre de la Défense, Devèze (25 février) ; questions portuaires et économiques (28 février, 25 avril, 5 juin, 5 octobre) ; le War office fait étudier les problèmes de transport liés au renforcement éventuel des troupes de Rhénanie (1er mars) ; modalités d'utilisation des chemins de fer luxembourgeois par les Alliés (15 mars) ; activités de l'officier de marine français détaché à Bruxelles (16 mars) ; le chef d'état-major envisage la réduction du nombre des divisions d'infanterie (30 mars) ; revue militaire du 8 avril (14 avril) ; la mission des chasseurs de sous-marins français détachés à Anvers doit être définie (15 avril) ; caractères et remèdes de la crise industrielle, étude (23 p., 16 avril) ; le roi et l'opinion accueillent favorablement la déclaration de Briand sur les sanctions et sont prêts à y participer (21, 28 avril) ; instruction des officiers de réserve (21 avril) ; projet de création du port maritime de Bruxelles avec des cartes, plans et une notice (10 mai) ; conflit au sein du cabinet sur les modalités du service militaire (14, 25 mai) ; étude sur un projet de création d'une marine militaire, projet destiné au chef d'état-major général (38 p., 21 mai) ; effectifs de l'armée d'occupation ; amélioration des relations avec la Hollande (6 juin) ; le maréchal Franchet d'Esperey porte un jugement défavorable sur l'armée belge (7 juin) ; tour d'horizon des problèmes politiques et militaires de la Grande-Bretagne par le général Godley, secrétaire du War office (9 juin) ; questions militaires à l'ordre du jour (12, 18 juillet) ; la loi de milice est une concession du gouvernement à l'opposition (2, 18 août) ; inauguration à Liège d'un monument à la mémoire des soldats français (13 octobre) ; état des forces armées ; l'effort militaire pendant la guerre (18 octobre) ; le récent voyage du roi en Algérie et au Maroc (20 octobre, 3 novembre) ; essais du F.M. Hotchkiss (3, 30 novembre, 7 décembre) ; les armes automatiques prochainement en service (3 novembre) ; voyage de mutilés de guerre à Paris (12 novembre) ; cérémonie du 11 novembre à Gand (14 novembre) ; élections législatives et formation du cabinet Theunis ; programme de compression budgétaire dont l'armée fera les frais (20 novembre, 21 décembre) ; le maréchal Wilson et le général Maglinse préfèrent la prolongation de l'occupation de la Rhénanie à l'occupation de la Ruhr (6 décembre). 1922 : visite du général Gouraud (12 janvier) et du maréchal Fayolle (23 février) ; le projet et les pourparlers de pacte anglo-belge n'aboutissent pas ; la Belgique craint une tutelle étrangère (18, 26 janvier, 2 mars, 24 mai) ; les différents projets de loi de réorganisation de l'armée se heurtent à l'opposition des catholiques d'extrême droite et des socialistes (9, 25 février, 26 avril, 24 mai, 4 août) ; le gouvernement ne veut pas concéder à la France l'utilisation du réseau ferré luxembourgeois en cas de guerre offensive, le chef d'état-major est d'un avis contraire (16, 25 février, 15 mars, 17 juin, 21 décembre) ; stagiaires belges dans la cavalerie britannique (2 mars) ; lord Ramsay est nommé attaché naval à Bruxelles (23 mars) ; armements ; fabrications d'armes et de munitions (28 mars, 22 mai) ; projet de création d'un comité d'étude de mobilisation de la nation (5 mai) ; les souverains anglais (11, 18 mai) et italiens sont accueillis sans enthousiasme (19 octobre) ; la discussion du projet de loi sur l'éducation physique et la préparation militaire est reportée (13 mai, 13 juin) ; relations avec la Hollande (24 mai) ; pertes de l'armée durant la guerre (2 juin) ; La Haye déclare indésirable l'attaché militaire anglais déjà accrédité à Bruxelles (8 juin) ; fêtes franco-belges de Liège (15 juin) ; des emplois civils seront assurés aux engagés libérés (17 juin) ; au moment de l'adoption du budget de la Défense, les Flamands exigent la création d'unités flamandes (23 juin) ; manœuvres au camp de Beverloo (13 juillet) ; le matériel d'artillerie est hétérogène (19 juillet) ; visite du maréchal French à Ypres (2 août) ; effectifs, matériels, approvisionnements, production de guerre entre 1914 et 1918 (29 septembre, 30 octobre) ; position du Comité national populaire belge sur le séparatisme rhénan (4 octobre) ; la réduction du service est une loi funeste, estime le chef d'état-major ; le projet de loi de recrutement divise le Parlement (8, 23 novembre) ; insuffisance de la propagande française, dans la presse (16 novembre) ; répartition des unités de chasseurs, de chars, du génie et de l'aéronautique de l'armée française (28 décembre et 17 février 1923). 1923 : la discussion et le vote des projets de lois militaires sont retardés par la loi sur la question linguistique (4 janvier, 15, 22 février, 8 juin) ; participation modique et timide de l'armée belge à l'occupation de la Ruhr (11, 24, 31 janvier, 28 février) ; études sur les écoles militaires (52 p., 15, 17 février) ; essais de fusils mitrailleurs (26 février) ; vote de la loi de milice (28 février) ; l'utilisation éventuelle des voies ferrées belges pour le transport des troupes françaises (7 mars, 8 août) ; notice sur l'armée (15 p., 13 mars) ; propositions de stages d'officiers français (14 mars, 26 avril) ; l'action du ministre de la Défense se heurte à l'opposition des socialistes et de la droite flamingante (15, 23 mars) ; d'après l'ancien attaché militaire belge à Rome la politique française dans la Ruhr développe un courant francophobe en Italie (19 mars) ; revue du 8 avril (11 avril) ; les projets de loi sur le service militaire et les oppositions et tractations qu'ils entraînent (12 avril, 3, 17, 23, 31 mai, 7 juillet) ; la Belgique désire appliquer aux cantons d'Eupen et Malmedy un régime de service militaire analogue à celui de l'Alsace Lorraine (1er mai) ; manœuvres au camp de Beverloo (11 juillet, 7 août) ; le cabinet Theunis obtient le vote d'une partie de la loi militaire (18, 19 juillet) ; démission du ministre Devèze (26 juillet, 2 août) remplacé par Forthomme (9 août) ; vote et texte de la loi de recrutement fixant le service à 12 mois (2 août) ; divergences au sein de l'état-major sur la réduction du nombre de divisions (8 août) ; l'organisation de la nation en temps de guerre n'a pas progressé depuis 1921 (8 août, 4 octobre, 18 décembre) ; renseignements sur l'artillerie française fournis à l'armée belge (8 août) ; plan d'une réorganisation de l'armée qui est déjà entreprise sans attendre le vote des Chambres (22 p., 22 septembre, 23 octobre, 15 novembre) ; décentralisation excessive de l'emploi de l'artillerie (8 octobre) ; commentaires d'un article du capitaine Kuntz sur les opérations de l'armée belge en 1914 (17 octobre, 15, 20 novembre) ; commémoration de combats (18 octobre) ; opinions sur le séparatisme rhénan (7, 15 novembre) ; le problème de l'extradition des Allemands auteurs d'attentats contre les soldats français en Rhénanie (7 novembre) ; aéronautique civile et militaire (étude, 33 p., 26 décembre).

Dates

1914-1923

Last modification on 24/12/2021

Format Physique Vincennes