(Dossier 1) Rapports et études sur l'organisation défensive du territoire

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(Dossier 1) Rapports et études sur l’organisation défensive du territoire : subordination inévitable de la question aux capacités financières du pays (27 mars 1923) et au fait que la frontière militaire de la France se trouve en avant de sa frontière politique (17 mai 1923), ce qui nécessite un front étendu équipé défensivement, avec régions fortifiées en première urgence (Lauter, Haute-Alsace, front Bitche-Longwy), le principe d’un barrage continu devant conditionner la réalisation technique des travaux de fortification (25 août 1923) ; (d.2) note sur la valeur intrinsèque des ouvrages de fortifications existant en France, suivant l’époque de leur construction (10 mai 1924) ; problème de la sécurité de notre frontière vulnérable, importance primordiale de la région Luxembourg-Basse-Lorraine (30 septembre 1924) ; (d.3) réponse à un questionnaire sur l’organisation défensive du Sud-Est : le système fortifié de cette frontière répond à la notion admise de champ de bataille défensif (système défensif discontinu, avec organisation des intervalles), l’organisation défensive de la frontière du Nord-Est impose le maintien de l’armée française sur le Rhin et la nécessité de préparer avant l’achèvement du système défensif les plans de tirs et de destruction (27 mai 1925) ; organisations propres aux différentes frontières terrestres, chacune comportant un dosage entre fortification du moment et fortification permanente (27 octobre 1925) ; (d.4) conditions techniques des modes d’organisation défensive retenus suivant les régions à fortifier, le but essentiel restant d’organiser le feu et d’aménager le terrain en profondeur (1926) ; étude des effets des bombardements sur les cuirassements de Verdun (12 avril 1926).