Conditions d’accès
Librement communicable.
Description physique
Classement
Les archives du Conseil ont été classées en quatre parties. La première est consacrée à l'activité du Conseil : séances et correspondance expédiée. Dans un souci de cohérence et de meilleure compréhension par le lecteur, il a été décidé de regrouper les comptes rendus de séances sans tenir compte du producteur, c'est-à-dire de l'état-major de tel ou tel membre du Conseil. Il en a été de même pour les chronos. La deuxième – l'état-major du vice-président – comprend elle-même huit chapitres. Le septième de ces chapitres regroupe toutes les inspections dans le même souci de cohérence et de meilleure compréhension par le lecteur. La troisième partie est classée dans l'ordre alphabétique par état-major de général membre du Conseil, et le cas échéant, le classement interne à chaque état-major suit le même plan de classement thématique que la deuxième partie. Enfin, la quatrième partie regroupe les exercices et manœuvres ; il a été choisi de les regrouper afin d'éviter de conserver un très grand nombre de doublons, mais également avec ce même souci de cohérence et de meilleure compréhension par le lecteur évoqué ci-dessus.
Les inspecteurs généraux dépendent hiérarchiquement du vice-président du Conseil supérieur de la guerre. Le général inspecteur général des troupes coloniales est également président du Comité consultatif de défense des colonies ; à ce titre il est membre de droit du Conseil supérieur de la Guerre. De même un général membre du Conseil est également inspecteur général. Par contre un inspecteur général peut n'être pas membre du Conseil. Le général Massiet, inspecteur général de cavalerie, est un exemple de cette exception qui confirme la règle. En conséquence de tout ceci, la décision a été prise de réaliser un inventaire qui regroupera toutes les inspections générales. Cet inventaire, séparé du Conseil, prendra la suite dans la même sous-série 1 NN. Les inspections techniques dépendent, elles, des directions.
De même que pour l'École supérieure de Guerre, par dossier d'exercice (ou dossier des manœuvres), nous entendons l'ensemble de documents (notes, relevés de situations, ordres d'opérations, instructions, tableaux, cartes, etc.) distribués à chaque intervenant dans un exercice donné qu'il soit général d'armée ou de division.
Le dossier d'organisation est le dossier d'exercice en cours de conception et d'écriture.
Les archives du Conseil ont été classées en quatre parties. La première est consacrée à l'activité du Conseil : séances et correspondance expédiée. Dans un souci de cohérence et de meilleure compréhension par le lecteur, il a été décidé de regrouper les comptes rendus de séances sans tenir compte du producteur, c'est-à-dire de l'état-major de tel ou tel membre du Conseil. Il en a été de même pour les chronos. La deuxième – l'état-major du vice-président – comprend elle-même huit chapitres. Le septième de ces chapitres regroupe toutes les inspections dans le même souci de cohérence et de meilleure compréhension par le lecteur. La troisième partie est classée dans l'ordre alphabétique par état-major de général membre du Conseil, et le cas échéant, le classement interne à chaque état-major suit le même plan de classement thématique que la deuxième partie. Enfin, la quatrième partie regroupe les exercices et manœuvres ; il a été choisi de les regrouper afin d'éviter de conserver un très grand nombre de doublons, mais également avec ce même souci de cohérence et de meilleure compréhension par le lecteur évoqué ci-dessus.
Les inspecteurs généraux dépendent hiérarchiquement du vice-président du Conseil supérieur de la guerre. Le général inspecteur général des troupes coloniales est également président du Comité consultatif de défense des colonies ; à ce titre il est membre de droit du Conseil supérieur de la Guerre. De même un général membre du Conseil est également inspecteur général. Par contre un inspecteur général peut n'être pas membre du Conseil. Le général Massiet, inspecteur général de cavalerie, est un exemple de cette exception qui confirme la règle. En conséquence de tout ceci, la décision a été prise de réaliser un inventaire qui regroupera toutes les inspections générales. Cet inventaire, séparé du Conseil, prendra la suite dans la même sous-série 1 NN. Les inspections techniques dépendent, elles, des directions.
De même que pour l'École supérieure de Guerre, par dossier d'exercice (ou dossier des manœuvres), nous entendons l'ensemble de documents (notes, relevés de situations, ordres d'opérations, instructions, tableaux, cartes, etc.) distribués à chaque intervenant dans un exercice donné qu'il soit général d'armée ou de division.
Le dossier d'organisation est le dossier d'exercice en cours de conception et d'écriture.
Inventaire
Conseil supérieur de la Guerre
Dates
1872-1940Présentation du contenu
Les archives du Conseil supérieur de la Guerre comptent 800 articles qui apportent un précieux complément au fonds déjà classé par M. Jean Nicot.
Si la période antérieure à 1914 est peu représentée, l'importance de la plupart de ces dossiers anciens compense en partie ce déficit. Ce sont en effet des séances du Conseil sur les sujets les plus variés.
S'agissant d'archives françaises, la langue est bien entendu le français, à l'exception de quelques documents se trouvant ici ou là dans tel ou tel dossier, en langues anglaise, allemande, polonaise, roumaine. On trouve également des coupures de presse en langues anglaise, polonaise, serbo-croate.
Ministère de la Guerre \ Conseil supérieur de la guerre
La bibliographie relative à l'administration centrale du ministère de la Guerre en général, et à ce conseil en particulier est des plus déficiente. Nous sommes au regret de ne pouvoir mentionner qu'un article polémique, ancien de surcroît :
H.P.L., « Le Conseil supérieur de la Guerre », Journal des sciences militaires, 74e année, neuvième série, tome soixante-dixième, Paris, 1898, p. 352-356.
Comme les autres parties des archives rapatriées de Russie, ce fonds n'a pas semblé faire l'objet d'une attention particulière dans le domaine de la conservation préventive. La présence de nombreux trombones et épingles rouillés en atteste. Des documents fragiles, notamment sur papier pelure en ont pâti. Néanmoins, dans l'ensemble, ces archives paraissent en meilleur état que, par exemple le troisième bureau de l'EMA.
Par ailleurs, les très importantes lacunes constatées laissent supposer que ce fonds a pu faire l'objet de destructions ou de pillages ; ces lacunes rendent parfois l'analyse difficile ou même incertaine, comme par exemple pour l'article 647.
La principale source complémentaire se trouve dans la série N classée et inventoriée par Jean Nicot :
- période 1872-1919 :
GR 1 NN 1 : création, organisation et fonctionnement du Conseil.
GR 1 NN 2 à 10 : procès-verbaux des séances du Conseil.
GR 1 NN 11 à 17 : listes des membres, rapports d'inspections et autres rapports, cours de l'ESG et du CHEM, dossiers de renseignements.
- période 1920-1940 :
GR 1 N 18 et GR 1 N 19 : organisation, composition et fonctionnement du Conseil.
GR 1 N 20 à GR 1 N 38 : procès-verbaux de séances, avis du Conseil, rapports qui lui sont présentés.
GR 1 N 39 et GR 1 N 40 : organisation du haut commandement.
GR 1 N 41 à GR 1 N 43 : états-majors des vice-présidents Pétain, Weygand, Gamelin.
GR 1 N 44 à GR 1 N 47 : états-majors des généraux membres du Conseil.
GR 1 N 49 à GR 1 N 55 : défense des frontières.
GR 1 N 57 à GR 1 N 98 : exercices et manœuvres.
En série XS :
Les cartons GR XS 176 à GR XS 178 concernent l'ancien Conseil supérieur de la guerre de 1820 à 1830.
Dernière modification le 15/06/2022