[Dossier 2] Note sur le transport en France de divisions britanniques (n° 1, 6 mars 1916).

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[Dossier 2] Note sur le transport en France de divisions britanniques (n° 1, 6 mars 1916) ; emploi de la brigade russe envoyée sur le front français : si elle ne doit pas être suivie d'autres forces, son rôle serait plus utile sur le front de Salonique (n° 2, 6 mars) ; constituer les troupes d'étape nécessaires à l'armée d'Orient au moyen de contingents coloniaux (n° 3, 6 mars) ; par suite de l'état d'avancement de leur réorganisation, les armées russes doivent être prêtes à participer à l'offensive générale de la coalition prévue pour mai 1916 (n° 4, 7 mars) ; une offensive russe est prévue sur le front nord, il est nécessaire d'aider la Roumanie à préserver sa neutralité (n° 5, 7 mars) ; note sur le blocus de la Mer du Nord ; contrebande « scandaleuse » des états du Nord avec l'Allemagne : il est nécessaire de mettre fin aux ménagements, en particulier à l'égard de la Suède (n° 6, 7 mars) ; mesures à proposer pour hâter le transport en France des divisions anglaises d'Egypte (n° 7, 7 mars), historique de la conquête de l'empire colonial allemand (n° 7 bis, 7 mars) ; coopération éventuelle de troupes italiennes sur le front français : objections d'ordre politique (n° 8, 9 mars) ; note au sujet de l'achèvement de la voie ferrée Larissa-Salonique (n° 10, 11 mars) ; projets d'offensive générale et de concentration en avant de l'armée d'Orient - carte (n° 11, 11 mars) ; notes au sujet de l'emploi des forces britanniques en France et sur les disponibilités anglaises à faire venir en France (nos 12 et 13, 12-13 mars) ; au moment où l'armée d'Orient tient la Bulgarie sous la menace d'une offensive, une pression diplomatique peut être de nature à la détacher de l'alliance allemande (n° 16, 14 mars) ; composition des unités de l'armée d'Orient suivant les principes admis pour la réorganisation de l'armée serbe (n° 17 bis, 15 mars) ; improbabilité d'une attaque austro-allemande contre l'Italie, car elle impliquerait : un arrêt de l'offensive allemande en France, la neutralité de la Roumanie, une forte concentration de troupes spécialement outillées ; carte (n° 19, 16 mars) ; emploi des bataillons de tirailleurs malgaches et indochinois comme travailleurs et troupes d'étapes (nos 20 et 20 bis, 15 mars) ; attitude de la Suède, de la Norvège et du Danemark après la conférence de Copenhague (9-11 mars 1916) : la situation dans les états scandinaves s'est détendue dans un sens conforme aux intérêts de l'Entente (n° 21, 17 mars) ; note sur la situation militaire et les projets de la coalition avant le déclenchement prochain par nos alliés de leurs offensives d'ensemble ; il faut obtenir de la Grande-Bretagne qu'elle concentre le maximum de ses forces en France (n° 22, 18 mars) ; notes et correspondance au sujet des préparatifs des armées italienne, russe et britannique, en vue du déclenchement d'une offensive générale (n° 23, 18 mars) ; la 1re brigade russe doit être employée sur le front français et non détournée sur Salonique (n° 24, 19 mars) ; le général Pau, chef de la mission militaire française en Russie, se plaint d'être insuffisamment renseigné sur les négociations et les projets militaires en cours entre alliés (n° 25, 19 mars) ; par crainte des Germano-Bulgares, préparatifs militaires de la Roumanie : le moment parait venu de lui demander de s'engager avec les alliés (n° 26, 20 mars) ; notes diverses à établir en vue de la conférence interalliée du 27 mars (n° 27, 20 mars) ; il faut sans tarder demander à nouveau au gouvernement grec son accord pour le transport de l'armée serbe par la voie ferrée Patras - Larissa - Ekaterlni - voir ci-dessous nos 50 et 51 ; situation de la mission militaire française en Russie, dont la réorganisation est nécessaire : le général Janin est proposé en remplacement du général Pau ; projet d'envoi d'une mission militaire française en Roumanie (n° 28, 20 mars) ; note au sujet de la 1re brigade russe : avantages et surtout inconvénients que présenterait son emploi à Salonique (n° 29, 20 mars) ; il faut inciter la Grande-Bretagne à concentrer le maximum de ses forces en France, par des prélèvements sur ses disponibilités en Egypte et en Angleterre même (nos 30 à 31 bis, 21-24 mars) ; émotion causée en Hollande par le torpillage de bateaux néerlandais : il pourrait en résulter l'interruption complète de toute exportation vers l'Allemagne (n° 32, 22 mars) ; en cas d'attaque germano-bulgare contre la Roumanie, l'armée d'Orient pourrait prendre l'offensive sur la frontière grecque et soulager efficacement l'armée roumaine (nos 33-34, 22 mars) ; deux exemples récents semblent montrer la tendance nouvelle du gouvernement à limiter l'action directrice du général Joffre aux seules opérations militaires : il est indispensable que ses avis soient comme par le passé sollicités et suivis, même en ce qui touche à la politique, car on ne peut séparer la direction militaire de la direction politique de la guerre (nos 35-36, 23mars) ; armée d'Orient : réorganisation des divisions françaises (n° 37, 24 mars) ; l'évacuation, même partielle, des forces britanniques de Salonique pourrait remettre en question les avantages acquis dans les Balkans (n° 38, 26 mars) ; réfutation des théories du moindre effort militaire qui règnent dans certains milieux gouvernementaux britanniques (n° 40, 31 mars) ; pour des raisons militaires et politiques, la coalition doit être fixée sans retard sur les intentions de la Roumanie (n° 39, 30 mars) ; transports de troupes à destination de Salonique : à la suite du torpillage de la « Provence », mesures à prendre pour diminuer les risques (n° 41, 31 mars) ; confirmation de l'existence d'un service allemand d'espionnage fonctionnant en Grèce avec la complicité du gouvernement grec et mettant particulièrement en danger la sécurité des transports de troupe sur mer (nos 42 et 55, 31 mars et 11 avril) ; comparaison des effectifs engagés sur le front austro-italien (n° 43, 1er avril) et sur le théâtre d'opérations oriental par les austro-allemands et par les Russes (n° 44, 1er avril) ; historique des projets successifs du haut commandement russe (n° 45, 3 avril) ; le général en chef demande au président du conseil que la Roumanie soit mise en demeure de se prononcer, avant le déclenchement de l'offensive d'ensemble de la coalition : la Roumanie n'a rien à craindre de la Bulgarie tant que le corps expéditionnaire de Salonique y sera maintenu ; mais ce dernier sera progressivement rapatrié si la Roumanie se dérobe à nouveau (nos 46 et 59, 3-15 avril) ; le plan d'opérations russe prévoit une attaque principale dans la partie nord du théâtre d'opérations oriental, et non en Galicie : la décision du général Alexeieff paraît justifiée et il est inopportun autant probablement qu'inutile de donner sur cette question un avis discordant (nos 47 à 49, 4 avril) ; mesures de contrainte, d'ordre économique, à employer à l'égard de la Grèce, à la suite de l'opposition brutale opposée par Skouloudis au transport de l'armée serbe par les voies ferrées helléniques (nos 50 et 51, 5 avril) ; organisation des divisions britanniques d'Orient en unités de montagne (n° 52, 9 avril) ; les prochaines offensives d'ensemble de la coalition se présentent « dans des conditions plus avantageuses que jamais » (n° 53, 11 avril) ; nécessité de connaître d'urgence les intentions de la Roumanie (n° 54, 11 avril) ; note au sujet de l'offensive russe : faut-il faire porter l'attaque principale dans la partie nord ou dans la partie méridionale du théâtre d'opérations ? (n° 58, 14 avril) ; lassé des exigences et des alternoiements roumains, le général Alexeieff, dans son dernier projet d'opérations, ne fait plus état de la collaboration de la Roumanie (n° 59, 15 avril) ; les demandes d'envoi d'ouvriers russes en France n'ont pu être satisfaites en raison de la pénurie de la main-d'œuvre en Russie (n° 57, 14 avril) ; envoi en France de contingents russes – un « courant continu d'hommes » pour entretenir nos effectifs : historique de la question (n° 60, 15 avril) ; situation des divisions britanniques susceptibles d'être envoyées sur le front français (n° 61, 17 avril) : état des transports en cours (troupes serbes et diverses) en Orient et vers la France (n° 62, 17 avril).